LE COMMENCEMENT

LE MENSONGE

UNE CRÉATION PARFAITE

LA RE-CRÉATION DE LA CRÉATION

POURQUOI UN SI GRAND NOMBRE DE SCIENTIFIQUES CROIENT À L'ÉVOLUTION?

LES ÉVOLUTIONNISTES THÉISTES

LES ABEILLES

DEVRIONS-NOUS CHERCHER UNE FORME D'INTELLIGENCE EXTRATERRESTRE ?
 

LES ÉVOLUTIONNISTES DÉMENTISSENT L'ÉVOLUTION

L'ARCHE DE NOE
 

CRÉATION \ ÉVOLUTION FAUT-IL TRANCHER ?

LE PIC-BOIS

LE COMMENCEMENT
 
 
 

À partir de l'immensité de l'univers, avec ses milliers de milliards de galaxies, chacune d'elles possédant des milliards d'étoiles...en regardant la splendeur de notre système solaire qui suit parfaitement son parcours établi...en explorant la beauté de notre planète avec ses grands cours d'eau, ses montagnes grandioses, ses arbres fruitiers, ses insectes et ses animaux de toutes espèces, jusqu'à l'anatomie complexe de l'être humain, on ne peut que se demander qui est à l'origine de ce chef-d'oeuvre? D'après la maison Angus-Reid et quelques autres sondages canadiens publiés dans la revue Macleans du 12 avril 1993, 53% des Canadiens favorisent clairement la Création biblique au lieu de l'évolution pour expliquer l'origine de la race humaine. Or, il est difficile de concevoir que le mot "Galaxie" que l'on retrouve dans "Le Petit Larousse" donne crédit à l'évolution et ne fait aucune mention d'un Créateur.
Pendant des milliers d'années, l'homme a toujours cherché à connaître l'origine de l'humanité. Elle a deux écoles de pensée. Une de ces pensées est que Dieu est le Créateur et a autorité sur l'univers. Il a créé toutes les formes de vie sur la terre avec une intention délibérée. "Au commencement Dieu créa le ciel et la terre."(Genèse 1:1) L'autre théorie enseigne que "tout vient de rien", que l'inertie s'est changée en matière vivante et qu'avec le temps s'est formée une simple cellule qui se multiplia en d'innombrables cellules complexes. L'enchaînement de ce résultat produisit l'humanité. Dans le monde entier, à l'aide de musées, lieux historiques, publications scientifiques, livres d'enfants, films et reportages télévisés, la science démontre que l'évolution est un fait. Son but est d'éliminer le surnaturel et de le remplacer par des réponses scientifiques.

En 1859, Charles Darwin publia "The Origin of Species" (L'origine des Espèces). Darwin étudia à l'Université Cambridge en théologie et en sciences naturelles. Ayant lui-même été chrétien, il rejeta l'idée d'un Créateur. Il ne pouvait croire que Dieu était l'arbitre dans sa distribution des espèces. Pour Darwin, la variation entre les espèces que l'on retrouvait sur les îles et que l'on retrouvait sur les terres fermes était logiquement explicable par un processus naturel. Avant la théorie de Darwin, la plupart des membres de la communauté scientifique croyaient à la Création biblique. Reconnu comme le père de l'évolution, Darwin développa une théorie selon laquelle tout s'est transformé de façon naturelle, sans l'intervention du Créateur. Son plan fascina la science à tel point que les autres se demandèrent "Pourquoi n'avons nous pas pensé à cela avant?" Les personnes qui ont imaginé le concept de l'évolution, incluant Charles Darwin, en sont arrivées à la conclusion que cela commença il y a 20 milliards d'années par un vide, ensuite il y eu une explosion dans ce vide, appelée "BIG BANG". Ceci créa une galaxie visqueuse avec plus de 200 milliards d'étoiles se déplaçant avec une précision circulaire jusqu'à la naissance de l'homme sans l'inter-vention de Dieu; et c'est cela que l'on enseigne dans nos écoles publiques aujourd'hui. Le but de Darwin est d'expliquer toute vie sans planification et raison, sans la nécessité d'un Créateur mais simplement par hasard ou processus naturel.

Qu'est-ce que le processus naturel pour les évolutionnistes? Pour eux, au début des temps, des produits chimiques se sont rassemblés et formèrent instantanément la première cellule. Cette opération n'était pas facile! Parce qu'une simple organisation de cellules reconnues possède dans ses gènes et chromosomes presque plus de données que de lettres que l'on retrouve dans la plus grande bibliothèque au monde, un trillion de lettres. Il est impossible que ce hasard organise autant de données. Presque toute forme de vie sur terre est composée de milliards de ces cellules complexes et qui encore se regroupent parfaitement. Le professeur Edwin Conklin de l'Université Princeton a dit à ce propos :

"La probabilité que la vie tire son origine d'un accident est comparable à la probabilité qu'un gros dictionnaire se forme à partir d'une explosion dans une imprimerie."

Et que pensez-vous de la déclaration de Fred Hoyle dans la revue Nature du 12 novembre 1981?

"La chance qu'une créature d'ordre supérieur se soit formée de cette façon est comparable à la chance qu'une tornade balayant une cour de recyclage assemble un boeing 747 avec le matériel qui s'y trouve."

Il n'est pas nécessaire de regarder plus loin pour se rendre compte de l'improbabilité de l'évolution.

La Création, au contraire, a un plan et un but précis. Il y a plusieurs passages bibliques démontrant la raison de notre existence. Un de ces passages est "Car tu es sa splendeur et sa puissance"(Psaume 89:18) Nous avons donc été créés tous pour la gloire de Dieu. Sa gloire et sa puissance se manifestent dans tout ce qu'il créa. Si nous sommes créés par Dieu, Dieu a autorité d'appliquer les règlements. Autorité d'appliquer des règlements pour avoir violé ses règlements par notre comportement. Mais si nous sommes descendants d'animaux et que nous sommes seulement un singe qui a perdu sa queue au fil des années, alors nous n'appartenons à personne. On fait nos propres règlements et on fait ce que l'on veut.

La Bible dit qu' Adam fut le premier homme. L'évolution enseigne que l'Anthropoïde était le dernier ancêtre commun entre l'homme et le chimpanzé. L'Australopithèque ou l'Homo habilis fut le berceau probable de l'humanité. Si cela est vrai, pas de Dieu, pas de loi et tout est permis. Clarence Darrow, avocat et ardent croyant en l'évolution, cite ces paroles à ce propos: "Le crime, dans le sens que les gens lui donnent généralement, n'existe pas...(les gens) sont en prison tout simplement parce qu'ils ne peuvent pas l'éviter, à cause de circonstances entièrement hors de leur contrôle et pour lesquelles ils ne sont aucunement responsables". On comprend facilement pourquoi les gens qui sont arrêtés pour avoir commis un crime n'ont aucun remord envers la société. La loi de Dieu n'a pas d'effet sur eux et la loi des hommes encore moins. Ils font leur propre loi qui leur permet de croire que rien ne leur est interdit. C'est la loi du plus fort qui l'emporte. Comme Guy N. Woods a si bien dit:

"Vous n'avez qu'à convaincre un homme qu'il descend du singe, et il va se mettre à agir comme l'un d'eux."

Le Seigneur nous a donné le choix d'accepter les écritures ou de ne pas y croire, mais la Bible stipule qu'un jour nous aurons tous des comptes à lui rendre. Paul a rapporté les paroles du prophète Esaïe à ce sujet.

"Car il est écrit: Je suis vivant, dit le Seigneur, tout genou fléchira devant moi, et toute langue donnera gloire à Dieu" (Romains 14:11)

Si vous refusez Jésus comme votre avocat vous le rencontrerez comme juge.

La théorie de l'évolution enseigne qu'un groupe de poissons s'est transfomé au fil de plusieurs millions d'années en reptile, et par la suite ce reptile s'est transformé lui aussi à son tour après plusieurs millions d'années en oiseau et ce même procédé s'applique pour toutes les autres espèces. Les évolutionnistes recherchent intensément certains fossiles, qu'ils appellent "fossiles intermédiaires", c'est-à-dire un groupe de fossiles entre deux espèces qui démontre une transformation.

La base fondamentale de la théorie de l'évolution est le temps. Supposons que vous êtes un étudiant à l'université et que vous présentez votre projet en classe. Dans un bocal vous avez un mille-pattes et vous dites aux autres élèves que dans quelques années cet insecte va subir une transformation majeure et va devenir un alligator. Croyez-moi, vous allez être la risée de l'université. Mais si vous dites que ce changement se produira dans plusieurs millions d'années, alors là vous êtes un héros. Le secret, c'est "le temps".

Les évolutionnistes concluent très vite que la paléontologie (étude des fossiles) est la façon la plus efficace de prouver l'exactitude de la théorie de l'évolution. Charles Darwin a lui-même dit qu'avec le temps les paléontologistes trouveraient assez de fossiles pour prouver sa théorie. Puisque, d'après leur croyance, l'évolution s'est déroulée sur une échelle de plusieurs millions d'années, le nombre de fossiles doit être gigantesque. Qu'est-ce que ces fossiles devraient nous indiquer? Cela devrait nous indiquer qu'il y a eu un changement entre les espèces. Il devrait donc y avoir des petits changements sur des fossiles de poissons qui nous indiquent que des pattes étaient en voie d'apparaître et que les reptiles étaient en voie de développer des ailes et un changement de leur peau rigide et dure en peau douce et couverte de plumes.

135 ans après que le fameux livre de Darwin fut publié, les évolutionnistes se sont confrontés à un gros problème. Aucun fossile ne démontre un changement d'une espèce à une autre. De tous les millions de fossiles trouvés jusqu'à présent, aucun d'eux ne pourrait apporter une preuve solide de la théorie de l'évolution. Au contraire, les fossiles démontrent que les espèces ont apparu brusquement, complètes, sans aucun signe de changement de forme provenant d'un ancêtre. On retrouve des fossiles de reptiles et d'oiseaux de toutes espèces mais pas d'intermédiaire entre les deux. Aucun changement. Mais cela n'empêche pas les évolutionnistes de continuer à dire qu'ils possèdent pleinement des fossiles qui représentent des changements entre les espèces.

Pourtant les musées sont remplis de fossiles sculptés en bois ou d'images qui représentent des fossiles intermédiaires, diverses espèces d'animaux pour lesquels on n'a aucune preuve qu'ils aient vraiment existé. Des millions de gens fréquentent ces musées dans le monde entier chaque année. Ce qu'ils voient, ce sont des changements entre les espèces: des poissons avec des pattes et des poumons, des reptiles avec des ailes, un homme moitié singe moitié humain. Pourquoi se servent-ils de ces sculptures et de ces dessins? Parce que leur recherche sur les fossiles intermédiaires ont abouti à un échec. Ils n'en possèdent pas, alors il faut en fabriquer et les gens se font embarquer dans leur mensonge.

D'après la théorie de l'évolution, si un groupe de personnes vit constamment dans l'eau, leurs descendants, en faisant de même, développeront peu à peu des palmes et une nageoire dorsale.

Toutes les catégories de créatures possédent leur propre code génétique afin que leurs descendants se reproduisent selon leur espèce et non pour se transformer en autre chose. C'est la loi scientifique appellée Biogénèse. Un chien sera toujours un chien, l'humain sera toujours un humain et malheureusement pour les jeunes filles qui rêvent d'un prince charmant, la grenouille ne deviendra pas un prince. Voici ce que les écritures disent au sujet de ces pensées:

"Parce qu'ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces: au contraire, ils sont devenus vains dans leurs raisonnements, et leur coeur destitué d'intelligence a été rempli de ténèbres. Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous; Et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en des images qui représentant l'homme corruptible, et les oiseaux, et les quadrupèdes et les reptiles." (Romains 1:21-23)
 
 
 

Références:
LUTHER D. SUNDERLAND (1988) Darwin's enigma
(Master Book)
 

KENNY BARFIELD (1988) Why the Bible is number 1
(Baker Book House)
 

WAYNE JACKSON (nov.1985)The Evolution Revolution
(Reason & Revelation)
 

THE EVOLUTION CONSPIRACY (1988)
(Jeremiah Film)
 

DUANE T. GISH (1985) Evolution: The challenge of the fossil record
(Master Book)
 

SYLVIA BAKER (1980) Bone of contention
(Creation Science Foundation)
 

Les versets bibliques sont tirés de 'La Bible' version d'Ostervald Révisée; Édition de 1996
 
 

LE MENSONGE
Claude Lamontagne

"Ce qui a été, c'est ce qui sera; ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, et il n'y a rien de nouveau sous le soleil." Ecclésiaste 1:9

"Mais je crains que, comme le serpent séduisit Ève par sa ruse, vos pensées ne se corrompent aussi, en se détournant de la simplicité qui est en Christ." 2 Corinthiens 11:3

Ce mensonge est tellement illusoire que Lucifer y perdit sa place dans les cieux. Un mensonge tellement trompeur que l'homme en fut chassé du Jardin d'Éden. Un mensonge tellement puissant qu'il peut même tuer l'âme... et ce mensonge, né au berceau de l'humanité, a séduit des millions de gens; même la communauté scientifique actuelle l'accepte. En dépit de toutes nos connaissances, de notre éducation et de nos expériences, ce mensonge, aujourd'hui, semble être tout aussi efficace qu'il l'a été à l'origine.

Quel est ce mensonge? C'est une fausse promesse, toute simple, qui réside au tréfonds de chacun de nous, et selon laquelle il nous est possible de devenir des dieux.. Pour plusieurs, ce mensonge, enflé par l'orgueil et l'arrogance humaines, devient une séduction irrésistible. Cette tentation fut trop forte pour Lucifer; le prophète Ésaïe nous décrit cette terrible journée :

"Comment es-tu tombé du ciel, astre brillant (Lucifer), fils de l'aurore? Comment as-tu été abattu à terre, toi qui foulais les nations? Tu disais en ton coeur: Je monterai aux cieux, j'élèverai mon trône par-dessus les étoiles de Dieu; je siégerai sur la montagne de l'assemblée, aux régions lointaines de l'Aquilon. Je monterai sur les hauteurs des nues, je serai semblable au Très-Haut. Mais tu es descendu dans le Sépulcre, dans les profondeurs du tombeau!."Ésaïe 14:12-15

Trompé par son coeur orgueilleux, Lucifer s'empressa de transmettre ce mensonge à Ève, dans le jardin d'Éden. Le serpent séduisit Ève en disant :

"Quoi! Dieu aurait dit : Vous ne mangerez point de tout arbre du jardin!. . . Vous ne mourrez nullement; Mais Dieu sait qu'au jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et vous serez comme des dieux. . . Genèse 3:1-5(réf. 1)

Loin d'être un mensonge démodé des temps anciens, la promesse de devenir Dieu, semble être au coeur de l'enseignement de plusieurs sectes religieuses, ainsi que dans celui de la vague du Nouvel Âge.

La théorie de l'évolution ne se tient pas à l'écart; elle n'a pas manqué à l'appel d'un si grand complot. L'évolution s'est ajoutée aux enseignements du Nouvel Âge pour tromper jusqu'à la communauté scientifique : ainsi, la prochaine étape évolutive ne serait pas physique, mais plutôt spirituelle. En effet, l'homme serait sur le point de percer le mystère qui réside tout au fond de lui-même : l'art de devenir comme Dieu.

Le fait que plusieurs scientifiques appuient les enseignements du Nouvel Âge lui donne une dimension nouvelle. La plupart des gens ne prendront pas très au sérieux des hippies ou des diseuses de bonne aventure qui se présentent dans un univers psychédélique. Mais si des savants renommés approuvent ces enseignements, ceux-ci acquièrent une toute nouvelle dimension. C'est ainsi que cette conspiration satanique est enseignée dans les écoles publiques sans que personne ne s'y oppose, puisqu'on l'a déguisée en vérité scientifique.

Pour mieux comprendre, étudions un peu le fonds de cette croyance du Nouvel Âge. Il s'agit tout simplement de l'hindouisme déguisé sous une terminologie très générale, pour que tous puissent l'accepter. C'est ainsi que la religion de l'Inde s'est répandue dans le monde sous une nouvelle forme. L'un des mensonges les plus trompeurs de cette philosophie est que tout est un et que nous sommes tous Dieu. Autrement dit, je suis Dieu, vous êtes Dieu, et tout ce qui nous entoure est Dieu. Alors Dieu, n'est rien d'autre que la somme de tout, et la pensée, ou le désir, de Dieu, est simplement la somme de toutes les pensées et de tous les désirs.

Swanni Muktanandu, un gourou qui promulgue les enseignements du Nouvel Âge, a écrit :

"Agenouillez-vous devant vous-mêmes. Honorez et adorez votre propre être, car Dieu habite en vous sous forme de vous."(réf. 2)

Shirley Maclaine, qui scandalise bien des gens, a déclaré publiquement : "Je suis Dieu".(réf. 3)

Ce ne sont que quelques personnes parmi les milliers qui séduisent les gens assoiffés de vie spirituelle.

Mais pourquoi la communauté scientifique s'intéresse-t-elle à une philosophie si dévastatrice?

Lors de la parution du livre L'Origine des espèces, de Charles Darwin, la question des fossiles intermédiaires, c'est-à-dire des «chaînons manquants» - les fossiles qui démontreraient le passage d'une espèce à une autre - était considérée comme un mystère abominable.

"Selon cette théorie, d'innombrables formes transitoires doivent avoir existé. Pourquoi ne les trouvons-nous pas incrustées dans l'écorce terrestre? Pourquoi la nature n'est-elle pas dans un état de confusion au lieu d'être comme nous le voyons, constituée d'espèces bien définies?"

Mais Darwin était convaincu qu'avec le temps, les savants trouveraient les chaînons manquants qui démontreraient la véracité de sa théorie. Plus de 135 ans de recherches se sont soldées par un échec, parce que les chaînons manquants sont toujours manquants!

Le Dr Colin Patterson, du Musée d'Histoire Naturelle de l'Angleterre, qui dispose de plus d'un million de fossiles, devrait pouvoir nous offrir une bonne variété de fossiles intermédiaires, n'est-ce pas? Mais voici ce qu'il a répondu à un lecteur qui lui demandait pourquoi il n'avait pas montré de formes transitoires dans son livre intitulé Évolution :

"...Je suis tout à fait d'accord avec vous, lorsque vous vous plaignez de l'absence d'illustrations directes des transitions évolutives dans mon livre. Si j'en avais trouvé, soit sous forme d'êtres vivants, soit à l'état de fossiles, il est bien évident que je les aurais présentés. Vous me suggérez d'engager un artiste pour que nous puissions mieux visualiser ces transitions, mais d'où tirerait-il les renseignements nécessaires? En toute honnêteté, je ne serais pas en mesure de les fournir, et si je laissais un artiste les créer à son gré, est-ce que je ne tromperais pas mes lecteurs?... Vous dites que je devrais au moins montrer une photo du fossile dont dérive chaque type d'organisme. J'affirme ouvertement qu'il n'existe aucun fossile de ce genre dont l'authenticité soit absolument démontrée..."(réf. 4)

Comme vous l'avez constaté, les fossiles intermédiaires n'existent tout simplement pas. Et pourtant, les scientifiques n'abandonnent pas la théorie de l'évolution. Pour contourner ce problème de fossiles, ils ont tout simplement modifié la théorie selon laquelle le passage d'une espèce à une autre se serait effectué rapidement et par sauts brusques, et non par une lente accumulation de modifications infimes et graduelles.

Mais quel rapport y a-t-il entre les fossiles et le Nouvel âge? Certains savants, dans un élan de pseudo-science, ont adopté une nouvelle théorie appelée «Théorie des équilibres ponctués». D'après eux, les fossiles démontrent que les changements se font brusquement, par intervalles. L'homme aurait atteint son état physique le plus élevé et serait sur le point de développer son potentiel d'évolution spirituelle. Il développera son potentiel de spiritualité aussi brusquement qu'il s'est transformé physiquement au cours de son histoire.

Nous ne pouvons nous empêcher de penser aux paroles de l'apôtre Paul :

"De sorte qu'ils sont inexcusables. Parce qu'ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; au contraire, ils sont devenus vains dans leurs raisonnements, et leur coeur destitué d'intelligence a été rempli de ténèbres. Se vantants d'être sages, ils sont devenus fous." (Romains 1:20-22)

Les paroles de l'Ecclésiaste ne mentent pas :

"Il n'y a rien de nouveau sous le soleil."

Satan utilise le même mensonge depuis au moins six mille ans. Quand Satan trouve une bonne façon de tromper les humains, il s'empresse de s'en servir.

Paul nous a avertis des ruses de Satan :

"Mais je crains que, comme le serpent séduisit Ève par sa ruse, vos pensées ne se corrompent aussi, en se détournant de la simplicité qui est en Christ." 2 Corinthiens 11:3

Comment Satan a-t-il séduit Ève? D'abord, en semant le doute:

"Quoi! Dieu aurait dit..." (Genèse 3:1), puis en mentant: "vous serez comme des dieux..." (Genèse 3:5)

Nous n'exagérons pas en disant que cette philosophie a influencé des milliers, et peut-être même des millions de gens, au point de leur faire abandonner leur foi en Jésus Christ et en Sa Parole. Ils se sont alors détournés de la lumière pour se tourner vers les ténèbres, vers le péché, puis vers leur condamnation ultime, la séparation éternelle de Dieu.

Leur façon de penser est très égocentrique. L'homme peut régler les problèmes du monde, l'homme peut créer un climat de paix, l'homme peut s'édifier un monde meilleur. En acceptant de se croire supérieur, l'humain en oublie la soumission et ne reconnaît plus son besoin d'un Sauveur.

Si l'on enseigne aux gens qu'ils sont des dieux, ils vont naturellement essayer d'agir comme des dieux. Mais si on leur enseigne que l'humain est perdu et qu'un jour, il devra rendre compte de ses actes devant Dieu (Romains 14:10), ils apprendront l'humilité et l'obéissance.

Notre Seigneur Jésus a dit :

"Car quiconque voudra sauver sa vie, la perdra; et quiconque perdra sa vie pour l'amour de moi, la trouvera." (Matthieu 16:25)

L'objectif principal de l'homme, c'est de glorifier Dieu et d'apprécier Sa présence pour l'éternité, c'est de Lui ressembler, et non pas d'essayer de le remplacer.
 

UNE CRÉATION PARFAITE
 

« Puis Dieu dit : Qu'il y ait une étendue entre les eaux, et qu'elle sépare les eaux d'avec les eaux. Et Dieu fit l'étendue, et sépara les eaux qui sont au-dessous de l'étendue, d'avec les eaux qui sont au-dessus de l'étendue; et cela fut ainsi. Et Dieu nomma l'étendue, cieux. Et il y eut un soir, et il eut un matin; ce fut le second jour. » (Genèse 1:6-8)

Avant le Déluge, c'est-à-dire à l'ère antédiluvienne, le climat et les conditions atmosphériques étaient bien différents de ceux que nous connaissons aujourd'hui. Les versets 6 et 7 du premier chapitre de la Genèse nous décrivent pourquoi il en était ainsi. Dieu, en effet, créa une étendue pour séparer les eaux. Cette étendue, que Dieu, appela « cieux », servait de réservoir atmosphérique; il préservait le souffle de vie. Dieu donna cette étendue aux oiseaux pour qu'ils s'envolent librement (Genèse 1:20-23). Dieu plaça de l'eau au-dessus de cette étendue qui est sur la terre. Cette eau est source de vie. Rien ne peut survivre sans cette eau. Au-dessous de l'étendue se trouve l'eau que Dieu avait suspendue pour protéger les habitants de la terre.

L'eau qui se trouvait au-dessous de l'étendue formait un genre de filtre qui protégeait des rayons nuisibles tout en maintenant un climat subtropical sur toute la surface de la planète. Autrement dit, cette couche d'eau produisait un effet de serre.

Ce climat parfaitement équilibré et cette couche protectrice démontrent « qu'au commencement », tout ce que Dieu avait créé était bon.

Serait-il possible que l'eau qui se trouvait au-dessous de l'étendue ait été une couche de nuages? Non, car pour qu'il en soit ainsi, il nous faudrait rejeter certains passages bibliques, ou en fausser l'interprétation. L'auteur indique clairement qu'il ne s'agissait pas de nuages, mais bien d'une voûte qui entourait la terre.

À cette époque, il ne tombait pas de pluie « sur la surface du sol » (Genèse 2:5) et il n'y avait pas « d'arc dans la nuées »(Genèse 9:13). Comme ces deux éléments font partie du système hydrologique, tous deux auraient été présents si la couche d'eau du dessous de l'étendue s'était composée de nuages.

Dans son ouvrage intitulé The Genesis Record (Le dossier de la Genèse), le Dr Henry Morris soulève quelques points importants pour appuyer cette théorie d'effet de serre de la période antédiluvienne.

1) La vapeur d'eau peut transmettre les rayons solaire qui entrent dans l'atmosphère, ainsi que retenir et diffuser une grande partie des rayons que reflète la surface de la terre. Elle créerait ainsi un effet de serre grâce auquel la terre entière jouirait d'une température agréable.

2) Tant que la température resterait uniforme, la masse d'air ne se déplacerait jamais de façon importante. Autrement dit, il n'y aurait jamais de tempêtes.

3) Comme l'air ne circulerait pas tout autour de la terre, le cycle hydrologique que nous connaissons aujourd'hui ne pourrait pas se former; par conséquent, il ne pleuvrait pas.

4) Comme il n'y aurait pas de circulation globale de l'air pour envoyer des turbulences ou des particules de poussière dans la haute atmosphère, l'eau de la voûte resterait stable et ne tomberait pas en précipitations.

5) Grâces aux cycles locaux d'évaporation et de condensation (comme la rosée ou la brume du matin), la planète jouirait non seulement d'une température uniforme, mais d'un taux d'humidité agréable.

6) Ce climat tempéré et agréablement humide produirait une végétation luxiriante et uniforme; il n'y aurait ni déserts, ni glaces éternelles.

7) La voûte de vapeur représententerait également un excellent filtre qui protégerait des rayons ultra-violets, des radiations cosmiques et des autres types d'énergie destructrice qui nous arrivent de l'espace. Ces radiations, on le sait, provoquent toute mutations somatiques et génétiques qui réduisent la viabilité des humains et des autres espèces. La voûte contribuerait donc grandement à la santé et à la longévité des humains et des animaux.

8) Plus tard, Il en a eu besoin, Dieu s'est servi des eaux qui se trouvaient au-dessous de l'étendue pour envoyer le Déluge (par lequel Il a sauvé les quelques fidèles qui vivaient au sein d'une population tellement corrompue qu'elle avait perdu tout espoir de salut). En effet, à l'heure actuelle, la vapeur d'eau que contient l'atmosphère ne couvrirait pas la terre de plus de 2 à 3 cm d'eau.
 

L'ÉVIDENCE
Job nous a laissé un conseil très pratique pour mettre toute théorie à l'épreuve et en vérifier l'authenticité.

« Mais interroge donc les bêtes, et elles t'instruiront; ou les oiseaux des cieux, et ils te l'annonceront; Ou parle à la terre, et elle t'instruira; et les poissons de la mer te le raconteront. Qui ne sait, parmi tous ces êtres, que la main de Dieu a fait cet univers? » Job 12:7-9

« parle à la terre ».

Si la terre était entourée d'une voûte, elle devait jouir d'un climat subtropical du pôle Nord au pôle Sud. Imaginez donc... un climat uniforme sur toute la terre... Aurions-nous des preuves pour appuyer cette théorie ? Parlons à la terre... examinons le registre des fossiles qui, pour la plupart, ont été formés lors d'une catastrophe survenue au temps de Noé et qu'on appelle le Déluge.

Dans son livre intitulé The Evidence for Creation (Preuves à l'appui de la Création), Roger Oakland présente plusieurs découvertes qui appuient le récit biblique.

Ainsi, on a découvert des fossiles de feuilles de palmier au nord de l'Île de Vancouver. Tout le monde sait que, de nos jours, ce type de plante ne pousse pas dans cette région. Dans le passé, le climat était donc bien différent.

On trouve aussi, enfouis dans la glace des îles sibériennes du Nord de la Russie, tout près du cercle Arctique, les vestiges de forêts tropicales et d'arbres fruitiers géants. Il est évident qu'à l'heure actuelle, de telles plantes ne poussent pas dans ces régions.

On a aussi découvert des plantes subtropicales, comme des feuilles de palmier de plus de 3 mètres de long, préservées dans les glaces du nord de la Norvège.

On a fait d'autres découvertes semblables en Alaska. Il est donc clair qu'avant le Déluge, les conditions climatiques étaient bien différentes de celles qui règnent aujourd'hui.

Tout près du pôle Sud, on a trouvé des fossiles d'arbres ayant un diamètre de plus de 3 mètres.

Il semble qu'avant le déluge, l'air contenait plus de vapeur d'eau et de dioxyde de carbone (ou gaz carbonique). Ainsi, les plantes poussaient mieux et la terre restait chaude, comme dans une serre. C'est pourquoi notre planète était recouverte d'une végétation luxuriante.

Dans le monde animal aussi, de nombreuses découvertes ont confirmé le récit biblique. Dans la toundra de l'Alaska, on a trouvé des vestiges de chameaux, de lions, de chevaux, de mammouths et de tigres encastrés dans la glace et dans la boue. Une fois de plus, il est évident qu'à l'heure actuelle, aucun de ces animaux n'habite ces régions.

Dans ce climat idéal, plantes et animaux atteignaient des tailles gigantesques.

Vous plairait-il de vous retrouver nez à nez avec une libellule d'une envergure de plus de 80 cm, des coquerelles de 30 cm de diamètre, des castors de 1 m 80 de long, des rhinocéros hauts de 5 mètres, des cochons aussi grands que des boeufs, des oiseaux gigantesques mesurant plus de 3 mètres ? On a retrouvé plusieurs milliers de ces fossiles gigantesques enfouis dans la roche.

Le monde était devenu si corrompu que Dieu a été obligé d'envoyer, en jugement, un Déluge qui a mis fin à ce climat subtropical parfaitement équilibré. Lorsque Noé sortit de l'arche, le climat était bien différent de ce qu'il avait été auparavant. C'est d'ailleurs pour cela que plusieurs espèces animales, incapables de s'y adapter, ont disparu.

« Car nous savons que, jusqu'à présent, toute la création soupire, et souffre les douleurs de l'enfantement. » Romains 8:22

Plusieurs font confiance aux hommes et aux organisations mondiales qui tentent désespérément de sauver notre planète. Mais, en étudiant les fossiles, on constate qu'au commencement, les conditions de vie dans le monde étaient bien meilleures que celles d'aujourd'hui. Malheureusement, avec le temps, les hommes n'améliorent pas leurs conditions de vie... au contraire, notre planète va de mal en pire.

Il serait beaucoup plus sage de mettre notre confiance en Jésus-Christ, qui a souffert cette même mort sur la croix, sachant que ceux qui Le reçoivent en tant que Seigneur et Sauveur passeront l'éternité avec lui sur « un ciel nouveau et une terre nouvelle; car le premier ciel et la première terre» ne seront plus. Apocalypse 21:1
 

POURQUOI UN SI GRAND NOMBRE DE SCIENTIFIQUES CROIENT À L'ÉVOLUTION?
 
 

Cette question revient souvent lorsque je parle à des gens de l'évolution et de la création : pourquoi un si grand nombre d'hommes de science croient à l'évolution? Avant de répondre à cette question, j'aimerais vous faire part que ce n'est pas tous les savants qui croient à la théorie de l'évolution. Il est vrai que les scientifiques qui soutiennent la Création spéciale (par le Créateur, Dieu) ne représentent qu'une minorité.

Plusieurs grands scientifiques renommés, tels que les Drs Henry M. Morris, Duane T. Gish, Joachim Scheven, A.E.Wilder-Smith pour n'en nommer que quelques-uns, croient à la Création spéciale.

Il existe plusieurs organismes chrétiens composés de scientifiques renommés: La "Creation Research Society," qui regroupe plus de 600 chercheurs qui se consacrent à faire connaître la gloire de Dieu par sa Création. En Californie, il y a L'"Institute for Creation Research," qui offre des programmes d'éducation avancée pour les étudiants en sciences. Ils ont publié plus de 70 livres sur le sujet "Évolution et Création," ils participent à des débats dans des universités. Un grand nombre de gens ont participé aux séminaires qu'ils tiennent dans des églises et des universités aux États-Unis, au Canada et dans plus de 20 autres pays.

Les gens qui s'intéressent à ce sujet, disposent amplement de livres et de publications qui leur permettront de faire leurs propres recherches et découvrir le mensonge de l'évolution.

Est-ce que des milliers d'hommes de science peuvent être dans l'erreur? Malheureusement OUI, cela est possible. Ce n'est pas parce que la majorité des gens croit une chose, que cela veut dire qu'ils ont raison. L'histoire nous démontre que souvent la majorité se retrouve dans l'erreur. Jésus nous enseigne que peu de gens suivent la vérité.

"Entrez par la porte étroite; car large est la porte et spacieux est la voie qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent. Car étroite est la porte et resserrée la voie qui mènent à la vie, et il y en a peu qui la trouvent." (Matthieu 7:13-14)

Examinons ensemble quelques faits historiques qui démontrent la tendance de la pensée humaine.

Pendant des siècles, les scientifiques ont enseigné que toutes les planètes tournaient autour de la Terre. Cela était la théorie de Ptolémée.

Après un travail acharné et déterminé, Copernicus, Galilée et quelques autres hommes de science ont réussi à faire démentir cette théorie. Leurs recherches démontrèrent que toutes les planètes orbitent autour du soleil, comme nous le savons aujourd'hui.

Vers 1850, le Dr Ignaz Semmellweis remarqua le taux élevé de mortalité chez les patients qui venaient de subir une opération chirurgicale. Il conclut que cette mortalité était due au fait que les médecins ne se lavaient pas les mains et ne nettoyaient pas leurs instruments après chaque opération.

La communauté scientifique de l'époque ridiculisa cette idée. On ne connaissait pas les bactéries à l'époque, et le Dr Semmellweis se retrouva donc seul à promouvoir l'idée de propreté et de stérilisation. Avec le temps, on lui donna raison.

Pendant un certain temps, les scientifiques évolutionistes proclamèrent que, sans aucun doute, la vie surgit spontanément de la matière non vivante. Ils affirmaient par exemple que les marécages produisaient des grenouilles, que la nourriture avariée formaient des mouches et que les déchets donnaient naissance à des rats. Mais les études approfondies à ce sujet de Redi, Spallnanzani et Pasteur mettaient fin, deux cents ans plus tard, à cette théorie de la vie spontanée naissant de matière non vivante.

Au fameux procès de l'évolution à Dayton, au Tennessee, "L'Homme Du Nébraska" fut présenté par les principales autorités scientifiques de l'époque comme preuve de l'évolution. Ils ont ri et ils se sont moqués de William Jennings Bryan quand il a protesté que cette preuve était bien mince. L'élément de preuve reposait sur une dent provenant supposément d'un homme préhistorique qui aurait vécu il y a un million d'années.

Cependant, des années plus tard, quand d'autres fossiles furent déterrés, on découvrit que "l'Homme du Nébraska" n'était qu'un porc.

En 1912, Charles Dawson exhibait "l'Homme de Piltdown". Un morceau de mâchoire, deux molaires et un morceau de crâne: voilà les preuves acclamées par les experts qui démontreraient qu'un homme-singe aurait existé il y a près d'un demi-million d'années.

Mais en 1953, la mystification fut dénoncée. L'os de la mâchoire était celui d'un singe moderne. Les dents avaient été limées, et les os avaient été artificiellement colorés pour tromper le public. La facilité avec laquelle cette fraude a berné les plus grandes autorités mondiales démontre bien la puissante influence des idées préconçues chez les adeptes de l'évolutionisme.

On se rappellera également qu'à une certaine époque, la majorité des médecins et du reste de la communauté scientifique était convaincue que l'appendice n'avait aucune fonction dans le corps humain.

Tous ces exemples nous démontrent que la vaste majorité des scientifiques étaient dans l'erreur et que la minorité avait raison.

Dans un proche avenir, l'homo-sexualité et l'avortement seront acceptés par la majorité des gens... est-ce que cela en fera des vertus?

Pourquoi plusieurs scientifiques acceptent la théorie de l'évolution? Le Dr Henry Morris nous donne une première explication:

" La raison principale pour laquelle la plupart des gens éduqués croient à l'évolution est simplement qu'ils se sont laissé dire que la plupart des gens éduqués y croient."

Plusieurs personnes se retrouvent dans ce groupe, même des scientifiques. Depuis le siècle dernier, on enseigne, de la maternelle au secondaire, que l'évolution est un fait certain et que tous les scientifiques réputés y croient.

Deuxièmement, pour les gens qui ne croient pas à un Créateur, l'évolution semble être une porte de sortie. Arthur Keith disait:

"L'évolution n'est pas prouvée et elle est improuvable. Nous y croyons parce que la seule autre option est la Création spéciale, et cela est impensable"

Et D.M.S. Watson dit à son tour:

"Les zoologistes acceptent la théorie de l'évolution non pas parce qu'on en aurait observé le déroulement ou obtenu des preuves qui la confirmeraient de façon cohérente et logique, mais parce que la seule autre option, la Création spéciale, est incroyable."

La Bible nous enseigne que "les hommes ont aimé les ténèbres plus que la lumière" Jean 3:19

Une troisième raison peut être la peur de se retrouver perdant. Ne connaissant pas la bénédiction que le Dieu puissant peut nous apporter quand nous acceptons son Fils comme sauveur, les gens préfèrent se taire, au lieu de risquer de tout perdre ce que le monde a à leur offrir. Plusieurs hommes de science découvrent que la théorie de l'évolution ne tient pas vraiment debout, mais ils craignent d'opter pour une autre croyance.

Le Dr Robert Gentry a lui-même passé par là. Depuis près d'un demi-siècle, les méthodes radiométriques permettaient de dater en millions d'années des roches de toutes sortes. Gentry découvrit une faille très importante dans la façon dont on si prend pour déterminer l'âge des roches.

Sa découverte était tellement convaincante, qu'en 1981, l'État de l'Arkansas passa une loi sur la science Créationniste exigeant que l'on enseigne les théories de la Création et de l'Évolution à part égale, ou qu'on ne les enseigne pas du tout.

L'Union américaine des droits de l'homme a immédiatement constesté cette loi en cour, la prétendant inconstitutionnelle.

Gentry se trouvait face à un dilemne: devait-il témoigner en faveur de l'État? S'il témoignait, il risquait certes de perdre le respect de ses pairs, sa crédibilité professionelle et peut-être même son emploi. Il décida tout de même de témoigner.

Gentry déclara qu'il renoncerait à sa théorie si quelqu'un réussissait à la réfuter... Jusqu'à présent, personne n'y est encore parvenu.

Robert Gentry avait cherché à réconcilier les faits scientifiques au récit biblique, qui selon lui, s'appuyent plutôt que de se contredire. Il avait mis à l'épreuve la foi que Dieu lui avait donnée par sa fidélité et par la science. Il a ultimement triomphé. Il perdit ses fonds de recherche, il perdit quelques-uns de ses amis, il perdit l'estime de certains de ses collègues, et il perdit son emploi. Pourquoi un homme ferait-il un pareil sacrifice?

L'écriture nous dit: "Achète la vérité, ne la vends pas." Gentry a acheté la vérité éternelle au prix de pertes temporelles.

Plusieurs hommes de science s'accrochent désespérément à la théorie de l'évolution malgré les preuves évidentes contre cette dernière, tout simplement parce qu'ils ne veulent pas se soumettre à Dieu et ne veulent pas perdre se que le monde leur offre (argent, prestige, honneur ect.). Présentant une théorie supposément scientifique, ils induisent en erreur des millions de gens qui les pensent intellectuellement infaillibles.

Mais la parole nous dit que nous devons choisir entre la Création (Dieu) et l'évolution (Mammon).

" Nul ne peut servir deux maîtres; car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon" (Matthieu 6:24)

Malheureusement, beaucoup de gens refusent de servir le Seigneur parce qu'ils ont mis leur foi dans la parole des hommes.

Ce n'est pas parce que les scientifiques ne croient pas en Dieu que nous devons faire de même. Les écritures nous enseignent:

"L'insensé dit en son coeur: Il n'y a point de Dieu!" Psaume 14:1
 
 
 

RÉFÉRENCES

DUANE T. GISH (1985) Evolution: The Challenge of the Fossil Record
(Creation-Life Publishers)

ALAN MONTGOMERY, L'Odyssée de Robert Gentry
(Creation Science Association of Ontario)

KENNY BARFIELD (1988) Why the Bible is number 1
(Baker Book House Company)

Les versets bibliques sont tirés de 'La Bible' version d'Ostervald Révisée; Édition de 1996
 

LES ÉVOLUTIONNISTES THÉISTES
Claude Lamontagne
 

Le mot "théiste" provient du mot Grec "theos", qui veut dire dieu. Les «évolutionnistes théistes» croient donc au deux: à l'évolution et à Dieu. D'après les évolutionniste théistes, les chapitres 1 à 11 de la Genèse seraient interprétés de façon symbolique et non littérale. Ils expliquent en effet que Dieu aurait utilisé le processus de l'évolution pour accomplir Sa création. Beaucoup de problèmes viennent s'ajouter à cette hypothèse. Nous ne pourrons pas présenter une étude approndie sur ce sujet, mais nous allons regarder quelques points importants.

DES JOURS DE 24 HEURES

La traduction du mot "jour" en hébreu est "yom", qui a deux définitions: jour et temps. Il est clair que l'utilisation de l'expression hébraïque dans le livre de Genèse "il y eut un soir et il y eut un matin; ce fut le premier jour", définit réellement une période de 24 heures. Si nous utilisons l'autre signification de yom, les versets qui décrivent la création se liraient comme suit: "il y eut un soir et il y eut un matin; ce fut le premier temps". Qu'est-ce que cela veut dire? Pourquoi utiliser le soir et le matin pour définir autre chose qu'un jour de 24 heures?

Dans Exode 20:8-11, nous lisons que Dieu créa l'univers en six jours; puis Il se reposa le septième jour et ordonna à l'homme de faire de même. Dieu n'a pas dit de travailler pendant six millions d'années pour ensuite se reposer un million d'années.

Adam a été créé le sixième jour et mourut à l'âge de neuf cent trente ans. Si chaque jour de la création représente une longue période de temps, quel âge avait Adam à sa mort?

Dieu, qui est éternel et tout puissant, aurait pu créer l'univers en un instant, mais il l'a fait en six jours afin de nous donner un modèle que l'on se doit de suivre: six jours de travail, suivis d'un jour de repos.

Beaucoup de gens invoquent 2 Pierre 3:8, qui compare un jour à mille ans et mille ans à un jour. Ils affirment que ce verset est la preuve que les jours de la création dans la Genèse représentent des périodes de mille ans. Dr. A. J. Monty White a très bien résumé le contexte de ce verset dans son livre intitulé Quel est l'âge de la Terre? Il dit:

«Ce verset ne doit toutefois pas être retiré de son contexte. Pierre parle des railleurs qui apparaîtront dans les derniers jours (v.3 ) et qui se moqueront de la promesse de la seconde venue du Seigneur Jésus-Christ (v.4). Leur philosophie est résumée au verset 4 car ils croient que «tout demeure comme depuis le commencement de la création». Cette philosophie n'est autre que celle de l'évolutioniste: l'uniformiste. Toutefois, Pierre rappelle à ses lecteurs que de telles personnes sont ignorantes parce que Dieu n'utilisa pas des procédés uniformistes lors du déluge universel par lequel « Le monde d'alors périt » (v. 5 et 6), et Il ne le fera pas lors de Sa seconde venue (v.7). Ce que Pierre a écrit au verset 8 est par conséquent l'affirmation que Dieu peut accomplir en un seul jour ce qui, apparemment, demanderait mille ans aux processus uniformistes. Ce qui n'a absolument rien à voir avec la durée des jours de la création du chapitre premier de la Genèse.»

Je peux ajouter à cela que, même si l'on acceptait que, selon 2 Pierre 3:8, chaque jour du récit de la Genèse représente mille ans, il n'aurait fallu que six mille ans pour que la création s'accomplisse. Ceci n'appuierait même pas la théorie de l'évolution qui, elle, requiert des millions d'années.

Si un jour repésente des milliers ou des millions d'années, qu'est-ce que le mot année veut dire dans Genèse 1:14?

"Puis Dieu dit: Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue des cieux, pour séparer le jour d'avec la nuit, et qu'ils servent de signes, et pour les saisons, et pour les jours, et pour les années."

LA MORT EXISTAIT-ELLE AVANT LE PÉCHÉ?

La théorie de l'évolution se fonde sur la mort et la lutte des espèces pour leur survie depuis des millions d'années. Cela voudrait dire que la mort existait avant que Adam succombe au péché. Dans Romain 5:12, nous lisons:

"C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort; de même la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché."

Dans 1 Corinthiens 15:21-22 nous lisons "En effet,puisque la mort est venue par un homme, la résurrection des morts est venue aussi par un homme."

Si la mort existait avant que Adam désobéisse à Dieu, la mort de notre Sauveur sur la croix n'a plus aucun sens.

Selon Genèse 3:22-23, Adam a été chassé du jardin afin qu'il ne se nourisse plus de l'abre de vie pour qu'il n'ait plus la vie éternelle sur cette terre mais qu'il doive faire face à la mort. Selon les évolutionnistes, les espèces meurent et luttent pour leur survie depuis des millions d'années. Par conséquent, selon la Bible, l'homme a amené, par ses propres actes, la manifestation du péché sur Terre, entraînant ainsi la mort physique et spirituelle. Ces deux théories se contredisent entièrement.

LE PREMIER HOMME

L'apôtre Paul dans 1 Corinthien 15:45 et Moïse dans Genèse 1-2 ont tous deux affirmé clairement que Adam était le premier homme. Les évolutionistes disent que le premier homme était définitivement l'Homo erectus... ou l'Homo habilis... ou L'Australopithecus africanus... ou autre... . Laquelle de ces théories les évolutionistes théistes vont-ils choisir? Celle de la Bible, ou celle de l'évolution? Les deux ne peuvent être exactes, puisqu'elles ne partent pas de la même généalogie.

POUSSIÈRE OU ANIMAUX?

Cette idée-ci est un peu cocasse. D'après certains de ceux qui optent pour une Genèse symbolique, le mot poussière du verset 2:7 représenterait les animaux. L'homme aurait été tiré des animaux (évolution) et non de la poussière au sens littéral. À ceci, nous répondons par Genèse 3:19 "Tu mangeras le pain à la sueur de ton visage, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris, car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière."

Est-ce que cela veut dire que si nous étions tirés du singe, à notre mort nous redeviendrions un singe?

LA CÔTE D'ADAM

L'évolution affirme que depuis des millions d'années, les animaux se reproduisent de facon naturelle: c'est la femelle qui donne naissance. Ainsi, le singe est devenu humain selon le même processus. D'après l'évolution, l'humain est toujours né de la femme. Mais, dans Genèse 2:21-22, Dieu nous dit de quelle façon Il créa la femme: au commencement, la première femme a été tirée de l'homme. Le verset 1 Corinthiens 11:8 vient confirmer ce fait:

"En effet, l'homme n'a pas été pris de la femme, mais la femme a été prise de l'homme."

QUI CROIRE?

En affirmant que Dieu aurait suivi le processus de l'évolution pour créer l'univers, on prétend que Jésus nous a menti, puisque dans Marc 10:6 Jésus nous dit:

"Mais au commencement de la création, Dieu ne fit qu'homme et qu'une femme."

D'après la théorie de l'évolution, l'homme aurait apparu sur Terre il y a environ 4 millions d'années et la terre existe depuis plus de 4,5 millards d'années. Ce qui voudrait dire que l'homme n'a pas été créé au commencement de la création, comme Jésus le déclare.

Le choix est simple: soit Jésus a menti et les évolutionnistes ont raison, soit Jésus a dit la vérité et les évolutionnistes sont en erreur.

CONCLUSION

On peut encore poser bien d'autres questions: Que signifie le premier verset de la Bible, si le récit de la Genèse est symbolique? Que voulait donc dire Moïse par "Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre" si on ne peut pas l'accepter littéralement?

En contemplant toute son oeuvre, Dieu dit que cela était bon. Comment une chose peut-elle être bonne, si elle implique la mort et la loi du plus fort? C'est pourtant bien ce que sous-entendent les évolutionniste théiste.

Selon la théorie de l'évolution, tout s'améliore avec le temps. Selon les Écritures, tout dégénère à cause du péché de l'humanité.

Dans Jean 5:46-47, Jésus dit:

"Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, car il a écrit de moi. Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous mes paroles?"

Jésus expliquait clairement qu'il faut accepter les écrits de Moïse pour comprendre ce qu'Il disait. Jésus fait souvent référence à la Genèse pour que nous comprenions mieux les Commandements de Dieu.

Par exemple, dans Matthieu 19:4-6, en réponse à la question des pharisiens au sujet du divorce, Jésus cite Genèse 2:24: Il nous explique ainsi pourquoi Dieu a instauré le mariage. Nous voyons donc à quel point il est important de comprendre et d'accepter la Genèse littéralement.

Dans son livre intitulé The Genesis Record, le Dr. Henry Morris compte, dans les deux testaments, plus de 165 références à la Genèse; il constate que c'est le livre le plus cité de toute la Bible. Cela démontre l'importance de ce livre. Comment peut-on annoncer la bonne nouvelle de l'évangile sans mentionner la Genèse, qui est sa raison d'être?

Comment les évolutionnistes théistes répondent-ils aux questions suivantes: Pourquoi Dieu instaura le mariage? Pourquoi portons-nous des vêtements? Pourquoi sommes-nous pêcheurs? Pourquoi la mort et la souffrance existent-elles? Pourquoi Jésus est-Il mort sur la croix? Pourquoi la Terre sera-t-elle recréée? Toutes les réponses à ces questions se trouvent dans la Genèse. Ceux qui interprètent le récit de la Génèse de façon symbolique se heurtent à bien des problèmes.

Pour comprendre la doctrine du Christianisme, nous devons comprendre les fondements de la doctrine chrétienne tels que présentés dans la Genèse. En n'interprétant pas ce livre de façon littérale, on détruit les fondements même du Christianisme. Autrement dit, notre Sauveur est mort pour rien.

C'est pour cela qu'il est absolument impossible d'insérer la théorie de l'évolution dans le récit de la Genèse pour interpréter la création.
 
 
 

Les versets bibliques sont tirés de 'La Bible' version d'Ostervald Révisée; Édition de 1996
 

LES ÉVOLUTIONNISTES THÉISTES
 

Le mot "théiste" provient du mot Grec "theos", qui veut dire dieu. Les «évolutionnistes théistes» croient donc au deux: à l'évolution et à Dieu. D'après les évolutionniste théistes, les chapitres 1 à 11 de la Genèse seraient interprétés de façon symbolique et non littérale. Ils expliquent en effet que Dieu aurait utilisé le processus de l'évolution pour accomplir Sa création. Beaucoup de problèmes viennent s'ajouter à cette hypothèse. Nous ne pourrons pas présenter une étude approndie sur ce sujet, mais nous allons regarder quelques points importants.

DES JOURS DE 24 HEURES

La traduction du mot "jour" en hébreu est "yom", qui a deux définitions: jour et temps. Il est clair que l'utilisation de l'expression hébraïque dans le livre de Genèse "il y eut un soir et il y eut un matin; ce fut le premier jour", définit réellement une période de 24 heures. Si nous utilisons l'autre signification de yom, les versets qui décrivent la création se liraient comme suit: "il y eut un soir et il y eut un matin; ce fut le premier temps". Qu'est-ce que cela veut dire? Pourquoi utiliser le soir et le matin pour définir autre chose qu'un jour de 24 heures?

Dans Exode 20:8-11, nous lisons que Dieu créa l'univers en six jours; puis Il se reposa le septième jour et ordonna à l'homme de faire de même. Dieu n'a pas dit de travailler pendant six millions d'années pour ensuite se reposer un million d'années.

Adam a été créé le sixième jour et mourut à l'âge de neuf cent trente ans. Si chaque jour de la création représente une longue période de temps, quel âge avait Adam à sa mort?

Dieu, qui est éternel et tout puissant, aurait pu créer l'univers en un instant, mais il l'a fait en six jours afin de nous donner un modèle que l'on se doit de suivre: six jours de travail, suivis d'un jour de repos.

Beaucoup de gens invoquent 2 Pierre 3:8, qui compare un jour à mille ans et mille ans à un jour. Ils affirment que ce verset est la preuve que les jours de la création dans la Genèse représentent des périodes de mille ans. Dr. A. J. Monty White a très bien résumé le contexte de ce verset dans son livre intitulé Quel est l'âge de la Terre? Il dit:

«Ce verset ne doit toutefois pas être retiré de son contexte. Pierre parle des railleurs qui apparaîtront dans les derniers jours (v.3 ) et qui se moqueront de la promesse de la seconde venue du Seigneur Jésus-Christ (v.4). Leur philosophie est résumée au verset 4 car ils croient que «tout demeure comme depuis le commencement de la création». Cette philosophie n'est autre que celle de l'évolutioniste: l'uniformiste. Toutefois, Pierre rappelle à ses lecteurs que de telles personnes sont ignorantes parce que Dieu n'utilisa pas des procédés uniformistes lors du déluge universel par lequel « Le monde d'alors périt » (v. 5 et 6), et Il ne le fera pas lors de Sa seconde venue (v.7). Ce que Pierre a écrit au verset 8 est par conséquent l'affirmation que Dieu peut accomplir en un seul jour ce qui, apparemment, demanderait mille ans aux processus uniformistes. Ce qui n'a absolument rien à voir avec la durée des jours de la création du chapitre premier de la Genèse.»

Je peux ajouter à cela que, même si l'on acceptait que, selon 2 Pierre 3:8, chaque jour du récit de la Genèse représente mille ans, il n'aurait fallu que six mille ans pour que la création s'accomplisse. Ceci n'appuierait même pas la théorie de l'évolution qui, elle, requiert des millions d'années.

Si un jour repésente des milliers ou des millions d'années, qu'est-ce que le mot année veut dire dans Genèse 1:14?

"Puis Dieu dit: Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue des cieux, pour séparer le jour d'avec la nuit, et qu'ils servent de signes, et pour les saisons, et pour les jours, et pour les années."

LA MORT EXISTAIT-ELLE AVANT LE PÉCHÉ?

La théorie de l'évolution se fonde sur la mort et la lutte des espèces pour leur survie depuis des millions d'années. Cela voudrait dire que la mort existait avant que Adam succombe au péché. Dans Romain 5:12, nous lisons:

"C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort; de même la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché."

Dans 1 Corinthiens 15:21-22 nous lisons "En effet,puisque la mort est venue par un homme, la résurrection des morts est venue aussi par un homme."

Si la mort existait avant que Adam désobéisse à Dieu, la mort de notre Sauveur sur la croix n'a plus aucun sens.

Selon Genèse 3:22-23, Adam a été chassé du jardin afin qu'il ne se nourisse plus de l'abre de vie pour qu'il n'ait plus la vie éternelle sur cette terre mais qu'il doive faire face à la mort. Selon les évolutionnistes, les espèces meurent et luttent pour leur survie depuis des millions d'années. Par conséquent, selon la Bible, l'homme a amené, par ses propres actes, la manifestation du péché sur Terre, entraînant ainsi la mort physique et spirituelle. Ces deux théories se contredisent entièrement.

LE PREMIER HOMME

L'apôtre Paul dans 1 Corinthien 15:45 et Moïse dans Genèse 1-2 ont tous deux affirmé clairement que Adam était le premier homme. Les évolutionistes disent que le premier homme était définitivement l'Homo erectus... ou l'Homo habilis... ou L'Australopithecus africanus... ou autre... . Laquelle de ces théories les évolutionistes théistes vont-ils choisir? Celle de la Bible, ou celle de l'évolution? Les deux ne peuvent être exactes, puisqu'elles ne partent pas de la même généalogie.

POUSSIÈRE OU ANIMAUX?

Cette idée-ci est un peu cocasse. D'après certains de ceux qui optent pour une Genèse symbolique, le mot poussière du verset 2:7 représenterait les animaux. L'homme aurait été tiré des animaux (évolution) et non de la poussière au sens littéral. À ceci, nous répondons par Genèse 3:19 "Tu mangeras le pain à la sueur de ton visage, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris, car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière."

Est-ce que cela veut dire que si nous étions tirés du singe, à notre mort nous redeviendrions un singe?

LA CÔTE D'ADAM

L'évolution affirme que depuis des millions d'années, les animaux se reproduisent de facon naturelle: c'est la femelle qui donne naissance. Ainsi, le singe est devenu humain selon le même processus. D'après l'évolution, l'humain est toujours né de la femme. Mais, dans Genèse 2:21-22, Dieu nous dit de quelle façon Il créa la femme: au commencement, la première femme a été tirée de l'homme. Le verset 1 Corinthiens 11:8 vient confirmer ce fait:

"En effet, l'homme n'a pas été pris de la femme, mais la femme a été prise de l'homme."

QUI CROIRE?

En affirmant que Dieu aurait suivi le processus de l'évolution pour créer l'univers, on prétend que Jésus nous a menti, puisque dans Marc 10:6 Jésus nous dit:

"Mais au commencement de la création, Dieu ne fit qu'homme et qu'une femme."

D'après la théorie de l'évolution, l'homme aurait apparu sur Terre il y a environ 4 millions d'années et la terre existe depuis plus de 4,5 millards d'années. Ce qui voudrait dire que l'homme n'a pas été créé au commencement de la création, comme Jésus le déclare.

Le choix est simple: soit Jésus a menti et les évolutionnistes ont raison, soit Jésus a dit la vérité et les évolutionnistes sont en erreur.

CONCLUSION

On peut encore poser bien d'autres questions: Que signifie le premier verset de la Bible, si le récit de la Genèse est symbolique? Que voulait donc dire Moïse par "Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre" si on ne peut pas l'accepter littéralement?

En contemplant toute son oeuvre, Dieu dit que cela était bon. Comment une chose peut-elle être bonne, si elle implique la mort et la loi du plus fort? C'est pourtant bien ce que sous-entendent les évolutionniste théiste.

Selon la théorie de l'évolution, tout s'améliore avec le temps. Selon les Écritures, tout dégénère à cause du péché de l'humanité.

Dans Jean 5:46-47, Jésus dit:

"Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, car il a écrit de moi. Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous mes paroles?"

Jésus expliquait clairement qu'il faut accepter les écrits de Moïse pour comprendre ce qu'Il disait. Jésus fait souvent référence à la Genèse pour que nous comprenions mieux les Commandements de Dieu.

Par exemple, dans Matthieu 19:4-6, en réponse à la question des pharisiens au sujet du divorce, Jésus cite Genèse 2:24: Il nous explique ainsi pourquoi Dieu a instauré le mariage. Nous voyons donc à quel point il est important de comprendre et d'accepter la Genèse littéralement.

Dans son livre intitulé The Genesis Record, le Dr. Henry Morris compte, dans les deux testaments, plus de 165 références à la Genèse; il constate que c'est le livre le plus cité de toute la Bible. Cela démontre l'importance de ce livre. Comment peut-on annoncer la bonne nouvelle de l'évangile sans mentionner la Genèse, qui est sa raison d'être?

Comment les évolutionnistes théistes répondent-ils aux questions suivantes: Pourquoi Dieu instaura le mariage? Pourquoi portons-nous des vêtements? Pourquoi sommes-nous pêcheurs? Pourquoi la mort et la souffrance existent-elles? Pourquoi Jésus est-Il mort sur la croix? Pourquoi la Terre sera-t-elle recréée? Toutes les réponses à ces questions se trouvent dans la Genèse. Ceux qui interprètent le récit de la Génèse de façon symbolique se heurtent à bien des problèmes.

Pour comprendre la doctrine du Christianisme, nous devons comprendre les fondements de la doctrine chrétienne tels que présentés dans la Genèse. En n'interprétant pas ce livre de façon littérale, on détruit les fondements même du Christianisme. Autrement dit, notre Sauveur est mort pour rien.

C'est pour cela qu'il est absolument impossible d'insérer la théorie de l'évolution dans le récit de la Genèse pour interpréter la création.
 
 
 

Les versets bibliques sont tirés de 'La Bible' version d'Ostervald Révisée; Édition de 1996
 
 
 
 
 

LES ABEILLES

adapté d'un article de Robert Doolan avec l'autorisation de l'Association de Science Créationniste de l'Ontario

Imaginez que vous êtes une abeille. Vous partez de votre ruche en éclaireuse un beau matin de printemps, vous voletez par-ci, par-là, et tout d'un coup, vous apercevez un champ splendide, tout en fleurs. La réserve de nourriture dont les 15 000 abeilles de votre ruche se sont nourries pendant tout l'hiver, est a son plus bas. Mais ce champs vous offre de nouveaux vivres. Vous remplissez votre sac de nectar et volez les 250 mètres qui vous séparent de votre ruche. Les autres abeilles ne savent pas encore où trouver les fleurs que vous avez découvertes. Votre cerveau n'est pas plus gros qu'une tête d'épingle, mais vous savez bien que si vous devez utiliser cette nouvelle source de nourriture, il vous faudra de l'aide. D'ici à l'été, votre colonie pourrait compter plus de 80 000 abeilles, qui mourront sûrement de faim si elles ne se nourrissent que sur du peu de pollen et de nectar que vous leur apporterez à chaque voyage. Comment allez-vous faire comprendre aux abeilles de votre ruche où elles pourront trouver les fleurs que vous venez de découvrir?

Un naturaliste autrichien du début du XXe siècle, Karl von Frisch, était intrigué par ce mystérieux problème. Fasciné par la façon dont les abeilles collaborent, von Frisch se livra à une étude passionnante sur la vie de ces petits insectes. Qu'a-t-il découvert? Que l'une des caractéristiques les plus remarquables des abeilles, c'était leur sens de la communication . De fait, l'art communicatif des abeilles est l'une des grandes merveilles du monde des insectes.

Von Frisch découvrit que les abeilles s'expriment non seulement par le toucher et par le goût, mais en «dansant». Pour décrire l'emplacement d'une source de nourriture qui se trouve loin de la ruche et que les autres abeilles ne peuvent ni sentir, ni voir, l'éclaireuse exécute, à l'intérieur de la ruche, une sorte de danse sur les rayons de miel. D'autres abeilles se rassemblent autour d'elle et suivent étroitement chacun de ses gestes. Elles imitent ses mouvements (toutes les ouvrières sont femelles) et notent le parfum des fleurs dont la danseuse a extrait le nectar.

Si la nouvelle source de nourriture est proche, soit dans un rayon d'environ cinquante mètres dela ruche,l'abeille exécute une danse circulaire sur les rayons de miel (voir figure 1). Elle se déplace en rond sur deux ou trois centimètres, puis elle retourne dans le sens contraire. Elle indique ainsi aux autres abeilles que la nourriture n'est pas loin. Le parfum qu'elle dégage leur donne une idée de l'odeur de la nouvelle nourriture. Elles s'envolent alors de la ruche et tournent en cercles toujours plus amples, jusqu'à ce qu'elles trouvent le nouveau champ de fleurs.

Figure 1 La dance circulaire
Si la nouvelle source de nectar ou de pollen est plus éloignée, l'éclaireuse fait une modification ingénieuse à sa dance. Elle forme le chiffre huit, en exécutant des mouvements intermittents à travers le millieu du huit (voir figure 2)..Chaque espèce passe de la danse circulaire à la danse en huit pour indiquer une distance différente. Mais les abeilles ne s'y trompent pas, parce que chaque ruche suit ses propres paramètres.

Figure 2 La dance en forme de huit
 

Les tortillements
Chaque mouvement de l'éclaireuse indique quelque chose aux autres abeilles. Elles saisissent la distance dont elles se trouvent d'une source de nourriture en comptant le nombre de cercles que danse l'éclaireuse et en observant les tortillements de son l'abdomen. Plus la nourriture est loin, plus elle se tortille l'abdomen. Elle révèle la direction dans laquelle se trouve la nourriture en traversant le cercle dans une direction et un angle bien définis. Si elle se tortille en traversant le cercle droit vers le haut, les autres abeilles savent qu'elles trouveront la nourriture en volant vers le soleil (voir figure 3). Si elle traverse le cercle droit vers le bas, elles savent qu'elles devront voler en s'éloignant du soleil. Si la danseuse traverse le cercle dans un angle, les autres abeilles comprennent qu'elles doivent voler à droite ou à gauche du soleil au même angle dans lequel la danseuse s'est déplacée à droite ou à gauche d'une ligne verticale imaginaire. Cette performance inouïe des abeilles danseuses est véritablement une absolue merveille du monde des insectes.

Figure 3 Le Soleil, La Ruche et La Nourriture

En observant la complexité des pas de cette danse et au détail de l'information que toutes les abeilles du monde en retirent (il a fallu vingt ans à von Frisch pour le déchiffrer), nous avons peine à croire que cette aptitude extraordinaire a lententement évolué avec le temps.
 

L'abeille créative
Essayons d'imaginer ce système en état d'évolution. Une abeille découvre un champ de fleurs.

Elle retourne à la ruche et aucune autre abeille ne sait où elle a pu remplir son sac de miel. Elle ne peut pas le leur dire, alors la ruche doit attendre que des abeilles trouvent ce même champ par hasard; ou alors, l'abeille qui a decouvert le champ de fleurs doit faire des allés et retour en espérant que l'une de ses consoeurs la suivra. Pis encore, il se peut qu'elle ait oublié comment retourner à ce champ!

Maintenant, supposons qu'un jour, une abeille créatrice invente une danse. Comment en communiquera-t-elle la signification à ses consoeurs? Comment expliquera-t-elle son système géométrique - que l'angle dans lequel elle traverse le cercle représente l'angle entre le soleil et la source de nourriture? Qu'arrivera-t-il, si le soleil se couche avant que les autres abeilles ne comprennent? Comment leur expliquer qu'elle a inventé une danse pour les vivres qui ne sont pas très loin, et une autre danse pour ceux qui se trouvent loin? Comment leur dire que si elle se tortille très lentement, cela signifie que le champ est éloigné, et que si elle se tortille très vite, le champ est tout près de là? Comment les autres sauront-elles que les pas de la danseuse vers le haut indiquent qu'elles devront voler vers le soleil, mais que, si elle marche vers le bas, elles devront voler dans la direction contraire? Mais, quoi qu'il en soit, si ce processus a évolué graduellement, comment les abeilles du passé ont-elles survécu pendant que ce système de communication évoluait? D'un autre côté, si elles ont pu survivre sans ce processus complexe, pourquoi inventer un nouveau système?
 

À la recherche d'une demeure
Les abeilles ne communiquent pas uniquement l'emplacement d'une source de nourriture par la danse : elles dansent aussi en huit lorsqu'il s'agit de choisir une nouvelle demeure. Quand une ruche est surpeuplée, la reine part avec une partie de la colonie en quête d'un nouveau logement. Elle laisse alors dans l'ancienne ruche quelques oeufs spéciaux d'où sortira une nouvelle reine. La reine et son essaim se rassemblent quelque part, sur une branche d'arbre, par exemple. Les ouvrières se mettent alors à chercher une nouvelle demeure adéquate. Quand une éclaireuse trouve un bon endroit, elle vient l'indiquer à ses consoeurs en faisant une danse en huit sur la surface même de l'essaim d'abeilles. Quelques autres vont alors inspecter le nouveau site et reviennent faire part de leur opinion au reste de la colonie. L'énergie qu'elles appliquent à leur danse indique à quel point le nouveau site est adéquat. Enfin, après plusieurs jours peut-être de recherche, l'essaim élira l'un des sites et y déménagera pour fonder une nouvelle ruche. Un chercheur du nom de Martin Lindauer, a surveillé l'un de ces concours de danse pendant quatre jours, inscrivant les directions et les distances de sites possibles. Il devina lequel des sites allait être élu. Il se dépécha alors d'aller le trouver... il y arriva même avant les abeilles!
 

Conclusion
Merveilleuse créature de notre Dieu, l'abeille démontre avec quel soin Il a planifié Sa Création. Ce langage, coordonné avec tant de précision, qui assure la survie de l'abeille, comporte beaucoup trop d'éléments distincts et indispensables pour être issu d'un long processus évolutif. Le bon sens et la logique nous indiquent que ce processus en entier a été inculqué aux abeilles lors de leur création. Tout comme les abeilles elles-mêmes, il n'a pas évolué - il n'aurait pas pu évoluer...
LES ABEILLES
adapté d'un article de
Robert Doolan
avec l'autorisation de
l'Association de Science Créationniste de l'Ontario
Imaginez que vous êtes une abeille. Vous partez de votre ruche en éclaireuse un beau matin de printemps, vous voletez par-ci, par-là, et tout d'un coup, vous apercevez un champ splendide, tout en fleurs. La réserve de nourriture dont les 15 000 abeilles de votre ruche se sont nourries pendant tout l'hiver, est a son plus bas. Mais ce champs vous offre de nouveaux vivres. Vous remplissez votre sac de nectar et volez les 250 mètres qui vous séparent de votre ruche. Les autres abeilles ne savent pas encore où trouver les fleurs que vous avez découvertes. Votre cerveau n'est pas plus gros qu'une tête d'épingle, mais vous savez bien que si vous devez utiliser cette nouvelle source de nourriture, il vous faudra de l'aide. D'ici à l'été, votre colonie pourrait compter plus de 80 000 abeilles, qui mourront sûrement de faim si elles ne se nourrissent que sur du peu de pollen et de nectar que vous leur apporterez à chaque voyage. Comment allez-vous faire comprendre aux abeilles de votre ruche où elles pourront trouver les fleurs que vous venez de découvrir?

Un naturaliste autrichien du début du XXe siècle, Karl von Frisch, était intrigué par ce mystérieux problème. Fasciné par la façon dont les abeilles collaborent, von Frisch se livra à une étude passionnante sur la vie de ces petits insectes. Qu'a-t-il découvert? Que l'une des caractéristiques les plus remarquables des abeilles, c'était leur sens de la communication . De fait, l'art communicatif des abeilles est l'une des grandes merveilles du monde des insectes.

Von Frisch découvrit que les abeilles s'expriment non seulement par le toucher et par le goût, mais en «dansant». Pour décrire l'emplacement d'une source de nourriture qui se trouve loin de la ruche et que les autres abeilles ne peuvent ni sentir, ni voir, l'éclaireuse exécute, à l'intérieur de la ruche, une sorte de danse sur les rayons de miel. D'autres abeilles se rassemblent autour d'elle et suivent étroitement chacun de ses gestes. Elles imitent ses mouvements (toutes les ouvrières sont femelles) et notent le parfum des fleurs dont la danseuse a extrait le nectar.

Si la nouvelle source de nourriture est proche, soit dans un rayon d'environ cinquante mètres dela ruche,l'abeille exécute une danse circulaire sur les rayons de miel (voir figure 1). Elle se déplace en rond sur deux ou trois centimètres, puis elle retourne dans le sens contraire. Elle indique ainsi aux autres abeilles que la nourriture n'est pas loin. Le parfum qu'elle dégage leur donne une idée de l'odeur de la nouvelle nourriture. Elles s'envolent alors de la ruche et tournent en cercles toujours plus amples, jusqu'à ce qu'elles trouvent le nouveau champ de fleurs.

Figure 1 La dance circulaire


 
 

Si la nouvelle source de nectar ou de pollen est plus éloignée, l'éclaireuse fait une modification ingénieuse à sa dance. Elle forme le chiffre huit, en exécutant des mouvements intermittents à travers le millieu du huit (voir figure 2)..Chaque espèce passe de la danse circulaire à la danse en huit pour indiquer une distance différente. Mais les abeilles ne s'y trompent pas, parce que chaque ruche suit ses propres paramètres.

Figure 2 La dance en forme de huit


Les tortillements
Chaque mouvement de l'éclaireuse indique quelque chose aux autres abeilles. Elles saisissent la distance dont elles se trouvent d'une source de nourriture en comptant le nombre de cercles que danse l'éclaireuse et en observant les tortillements de son l'abdomen. Plus la nourriture est loin, plus elle se tortille l'abdomen. Elle révèle la direction dans laquelle se trouve la nourriture en traversant le cercle dans une direction et un angle bien définis. Si elle se tortille en traversant le cercle droit vers le haut, les autres abeilles savent qu'elles trouveront la nourriture en volant vers le soleil (voir figure 3). Si elle traverse le cercle droit vers le bas, elles savent qu'elles devront voler en s'éloignant du soleil. Si la danseuse traverse le cercle dans un angle, les autres abeilles comprennent qu'elles doivent voler à droite ou à gauche du soleil au même angle dans lequel la danseuse s'est déplacée à droite ou à gauche d'une ligne verticale imaginaire. Cette performance inouïe des abeilles danseuses est véritablement une absolue merveille du monde des insectes.

Figure 3 Le Soleil, La Ruche et La Nourriture
 

En observant la complexité des pas de cette danse et au détail de l'information que toutes les abeilles du monde en retirent (il a fallu vingt ans à von Frisch pour le déchiffrer), nous avons peine à croire que cette aptitude extraordinaire a lententement évolué avec le temps.
 

L'abeille créative
Essayons d'imaginer ce système en état d'évolution. Une abeille découvre un champ de fleurs.

Elle retourne à la ruche et aucune autre abeille ne sait où elle a pu remplir son sac de miel. Elle ne peut pas le leur dire, alors la ruche doit attendre que des abeilles trouvent ce même champ par hasard; ou alors, l'abeille qui a decouvert le champ de fleurs doit faire des allés et retour en espérant que l'une de ses consoeurs la suivra. Pis encore, il se peut qu'elle ait oublié comment retourner à ce champ!

Maintenant, supposons qu'un jour, une abeille créatrice invente une danse. Comment en communiquera-t-elle la signification à ses consoeurs? Comment expliquera-t-elle son système géométrique - que l'angle dans lequel elle traverse le cercle représente l'angle entre le soleil et la source de nourriture? Qu'arrivera-t-il, si le soleil se couche avant que les autres abeilles ne comprennent? Comment leur expliquer qu'elle a inventé une danse pour les vivres qui ne sont pas très loin, et une autre danse pour ceux qui se trouvent loin? Comment leur dire que si elle se tortille très lentement, cela signifie que le champ est éloigné, et que si elle se tortille très vite, le champ est tout près de là? Comment les autres sauront-elles que les pas de la danseuse vers le haut indiquent qu'elles devront voler vers le soleil, mais que, si elle marche vers le bas, elles devront voler dans la direction contraire? Mais, quoi qu'il en soit, si ce processus a évolué graduellement, comment les abeilles du passé ont-elles survécu pendant que ce système de communication évoluait? D'un autre côté, si elles ont pu survivre sans ce processus complexe, pourquoi inventer un nouveau système?
 

À la recherche d'une demeure
Les abeilles ne communiquent pas uniquement l'emplacement d'une source de nourriture par la danse : elles dansent aussi en huit lorsqu'il s'agit de choisir une nouvelle demeure. Quand une ruche est surpeuplée, la reine part avec une partie de la colonie en quête d'un nouveau logement. Elle laisse alors dans l'ancienne ruche quelques oeufs spéciaux d'où sortira une nouvelle reine. La reine et son essaim se rassemblent quelque part, sur une branche d'arbre, par exemple. Les ouvrières se mettent alors à chercher une nouvelle demeure adéquate. Quand une éclaireuse trouve un bon endroit, elle vient l'indiquer à ses consoeurs en faisant une danse en huit sur la surface même de l'essaim d'abeilles. Quelques autres vont alors inspecter le nouveau site et reviennent faire part de leur opinion au reste de la colonie. L'énergie qu'elles appliquent à leur danse indique à quel point le nouveau site est adéquat. Enfin, après plusieurs jours peut-être de recherche, l'essaim élira l'un des sites et y déménagera pour fonder une nouvelle ruche. Un chercheur du nom de Martin Lindauer, a surveillé l'un de ces concours de danse pendant quatre jours, inscrivant les directions et les distances de sites possibles. Il devina lequel des sites allait être élu. Il se dépécha alors d'aller le trouver... il y arriva même avant les abeilles!
 

Conclusion
Merveilleuse créature de notre Dieu, l'abeille démontre avec quel soin Il a planifié Sa Création. Ce langage, coordonné avec tant de précision, qui assure la survie de l'abeille, comporte beaucoup trop d'éléments distincts et indispensables pour être issu d'un long processus évolutif. Le bon sens et la logique nous indiquent que ce processus en entier a été inculqué aux abeilles lors de leur création. Tout comme les abeilles elles-mêmes, il n'a pas évolué - il n'aurait pas pu évoluer...
 
 
 
 
 
 

 - Claude Lamontagne
http://www.geocities.com/Athens/Ithaca/1447/pageintro.html
 

LA RE-CRÉATION DE LA CRÉATION
 
 

Le mot «création» suscite à notre esprit un paysage tout en collines, de sombres forêts, des montagnes grandioses et des fleuves descendant majestueusement vers de vastes océans. Il évoque aussi toute une richesse de plantes et d'animaux, d'oiseaux, de poissons et d'insectes. À l'origine, le monde ressemblait probablement à cela. Mais en ce temps-là, comme à l'heure actuelle, la création représentait plus encore. Ce n'est qu'en saisissant l'importance de sa dimension spirituelle que nous pouvons comprendre le domaine physique que perçoivent nos sens.

La hiérarchie de la création

On apprend dans Job 38 qu'avant de créer le monde, Dieu avait créé toute une hiérarchie d'êtres angéliques. Daniel et Jude nous parlent de l'archange Michel, et l'on mentionne l'ange Gabriel dans Daniel et Luc. À l'initiale, Satan était un ange de lumière (2 Corinthiens 11:14), «Tu étais le couronnement de l'édifice, plein de sagesse, parfait en beauté» (Ézéchiel 28:12). Les chérubins, les séraphins et autres puissances et autorités faisaient également partie de la création, mais nous n'en savons que très peu à leur sujet.

L'homme, qui a été créé de peu inférieur aux anges (Psaumes 8:6; Hébreux 2:7), a été fait à l'image de Dieu (Genèse 1:27). Les trois aspects de l'homme --son esprit, son âme et son corps (1 Thessaloniciens 5:23) sont parallèles aux éléments de la Trinité -- l'Esprit, le Père et le Fils (Jésus Christ). En créant l'homme, Dieu lui ordonna de croître et se multiplier et le dota du pouvoir de dominer la Terre. Il ordonna à l'homme de dominer sur les poissons, les oiseaux et les animaux (Genèse 1:28). «Car Dieu lui ayant assujetti toutes choses, n'a rien laissé qui ne lui soit assujetti» (Hébreux 2:8). Depuis le déluge, l'homme a reçu la permission de manger la chair des animaux; avant cela, il ne devait tirer sa nourriture que du règne végétal (Genèse 9:3).

La création reposait donc sur une hiérarchie. L'homme était de peu inférieur aux anges, mais il lui fut donné de dominer sur les plantes et les animaux.

La chute

Lorsqu'Il eut achevé Sa création, Dieu déclara que «c'était très bon» (Genèse 1:31). Et pourtant, le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui est infesté de violence, de maladies et de désastres. Nous savons que les calamités environnementales ont fait disparaître de nombreuses espèces végétales et animales, et que certaines activités humaines en menacent d'autres encore. Notre monde ne ressemble pas du tout à la création telle que la Bible la décrit. Comment pourrions-nous dire que «c'était très bon?» Que s'est-il passé? Oh... beaucoup de choses.

Tout débuta lorsque, sous la direction de Lucifer (Satan), des anges se révoltèrent. Deux passages bibliques décrivent Satan et sa horde: Ésaïe 14:12-15 et Ézéchiel 28:11-19. Lucifer voulait s'élever à la hauteur du Très-haut. Sa beauté le remplit d'un orgueil outrecuidant. Condamné à vivre sur Terre, il devint le prince de ce monde.

L'homme aussi, fut pris du désir de désobéir à Dieu et de se soustraire à l'ordre qu'Il avait établi. En ce faisant, il laissa la corruption s'infiltrer dans le monde physique. Dans le jardin d'Éden, Satan tenta Adam et Ève en les assurant qu'ils seraient «comme des dieux» (Genèse 3:5). Ainsi, tout comme Satan, par son orgueil, brisa sa relation avec Dieu, l'homme, par son péché, se priva d'un rapport amical avec son créateur (Ésaïe 59:2).

Comme Adam, le gouverneur de la Terre, a préféré écouter Satan plutôt que Dieu, «le monde entier est plongé dans la mal» (1 Jean 5:19). Satan avait le pouvoir d'offrir à Jésus tous les royaumes de la Terre (Luc 4:5-6). Et pourtant, il porte le titre de prince, ce qui indique qu'il n'est qu'un subordonné. Le roi peut lui enlever son titre. Par bonheur, Jésus a pu faire une déclaration que personne d'autre n'a jamais pu faire: que le prince de ce monde n'a aucun pouvoir sur Lui (voir Jean 14:30).

Le péché d'Adam causa la mort spirituelle des hommes; depuis lors, ceux-ci sont morts dans le péché (Romains 5:12). La mort physique s'ensuivit, bien que, dans le cas d'Adam, elle ne se manifestera que des centaines d'années plus tard (Genèse 3:19 et Genèse 5:5). La relation d'Adam et Ève en souffrit elle aussi. Ayant découvert sa transgression, Dieu dit à Ève qu'Il augmenterait grandement les souffrances de ses enfantements et que dorénavant, son mari dominerait sur elle (Genèse 3:16).

Après la Chute, l'homme ne put plus dominer adéquatement sur la création. La malédiction corrompit même les règnes animal et végétal (Genèse 3:14 et Genèse 3:17). Dorénavant, Adam allait devoir tirer son pain de la terre à la sueur de son front, parmi les épines et les ronces (Genèse 3:18). En fait, depuis la Chute, «jusqu'à présent, toute la création soupire» (Romains 8:22). Elle a été livrée «de la servitude de la corruption» (Romains 8:21), et elle l'est encore aujourd'hui.

Les Écritures établissent clairement que nous vivons dans un monde de péché et de corruption. Les adversités environnementales, comme les froids extrêmes et les sécheresses, menacent constamment la survie d'un grand nombre de plantes et d'animaux. Les animaux doivent soit manger d'autres animaux, soit vivre dans la terreur de se faire manger. Qui n'a jamais senti ses entrailles se resserrer à la vue d'un animal de proie attaquant une créature sans défense, souvent même très jeune? Pour couronner toutes ces adversités, la maladie détruit les plantes et des populations entières d'animaux.

Malgré toute son intelligence, l'homme n'échappe pas aux ravages des cataclysmes, des prédateurs et de la maladie. De plus, il ne fait que trop souvent empirer les choses en nuisant à la nature et à son prochain. La plupart des gens ne connaissent pas le plus parfait bonheur d'un bout à l`autre de leur vie. Qu'ils soient riches ou pauvres, noirs ou blancs, chinois ou indiens, les hommes, pour la plupart, traversent de grandes souffrances émotionnelles et physiques, tout au long de leur vie. Notre monde est dans un état si lamentable que bien des gens sont portés à dire: "Dieu ne peut pas être à la fois Amour et tout-puissant, sinon Il ne permettrait pas cela. Il y ferait quelque chose!". Eh bien, voici une bonne nouvelle: Dieu y A FAIT quelque chose! Un plan de re-création totale Dieu savait qu'en dotant l'homme de cet immense pouvoir, il lui donnait la possibilité non seulement de faire de grandes choses, mais aussi de commettre des actes abjects. Ainsi, avant même de commencer à créer le monde, Il élabora les plans d'une création nouvelle, d'une re-création.

Le Créateur se ferait homme. L'Éternel s'introduirait dans le temps et l'espace. Celui qui donne la vie se soumettrait à la mort. Celui qui est au-dessus de tout s'abaisserait au-dessous des anges pour qu''«Il souffrît la mort pour tous» (Hébreux 2:9). Dans son orgueil, Adam voulut devenir Dieu; mais Dieu s'est abaissé pour se faire homme, pour mourir sur la croix pour l'humanité (Philippiens 2:6-8). L'apôtre Paul résume ceci merveilleusement dans 1 Corinthiens 15:22 : «Car, comme tous meurent en Adam, de même tous revivront en Christ.».

La victoire sur Satan

La mort, la résurrection et l'ascension de Jésus Christ ont touché la création tout entière: les anges, les hommes, les animaux, les plantes, et même la Terre. Juste avant de se faire crucifier, Jésus a dit: «Maintenant se fait le jugement de ce monde; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors» (Jean 12:31). Il s'est fait homme dans le but de détruire Satan et ses oeuvres. Christ s'est fait humain comme nous pour pouvoir, en mourant, libérer ceux qui sont enchaînés par la peur de la mort (Hébreux 2:14-15) et détruire les oeuvres du diable (I Jean 3:8). En parabole, le Seigneur a parlé d'un homme fort et bien armé qui gardait tout ce dont il était responsable. Puis un plus fort que lui survint, le dompta et prit toutes ses possessions (Luc 11:21-22). En se soumettant à Son Père jusqu'à la mort, puis en ressuscitant par le Tout-Puissant, Il a dépouillé Satan (Colossiens 2:15) et a reçu «tout pouvoir dans le Ciel et sur la Terre» (Matthieu 28:18). Le Seigneur Jésus a reçu «un nom qui est au-dessus de tout nom» (Philippiens 2:9). Il est maintenant assis à la droite de Dieu, «Au-dessus de toute principauté, de toute puissance, de toute pouvoir, de toute domination, et de tout nom qui se puisse nommer» (Éphésiens 1:20-21).

La réconciliation de l'homme

En triomphant sur la croix, Christ a non seulement mis un point final à la rébellion des anges, mais Il a permis à l'homme déchu de se réconcilier avec Dieu. «Mais Dieu, qui est riche en miséricorde à cause de la grande charité dont il nous a aimés, Lorsque nous étions morts dans nos fautes, nous a rendus à la vie ensemble en Christ» (Éphésiens 2:4-5). Par Christ, Dieu a élevé des hommes régénérés. La chute d'Adam a créé la mort; en mourant pour nous, Christ a donné la vie. L'homme, qui était «autrefois éloigné» de Dieu, en a été «rapproché» par le sang de Christ (Éphésiens 2:13). Autrement dit, en obéissant à Son Père, Christ a inversé les effets de la désobéissance d'Adam à Dieu.

La nouvelle hiérarchie

N'étant plus «de peu inférieurs aux anges» (Hébreux 2:7), ceux qui confessent leurs péchés, s'en repentent et acceptent sincèrement que Christ les a purifiés en se sacrifiant sur la croix sont désormais «de nouvelles créatures» (2 Corinthiens 5:17), recréées en Christ et assises avec Lui dans les lieux célestes (Éphésiens 2:6). Quelle promotion! Les anges, au service de Dieu, sont dès lors des esprits envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent hériter du salut (Hébreux 1:14).

Ceux qui sont en Christ sont maintenant bien au-dessus de Satan, de son pouvoir et de son autorité. Si nous nous soumettons à Dieu et que nous résistons au diable, «il s'enfuira de nous» (Jacques 4:7). Le péché n'a point de pouvoir sur nous (Romain 6:14). «Grâces soient rendues à Dieu, qui nous a donné la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!» (1 Corinthiens 15:57). «Dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés... Ni les anges ni aucune autre créature... ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur» (Romain 8:37-39).

La re-création de la création

Mais qu'arrivera-t-il au reste de la création? Christ reviendra pour régner pendant mille ans. Alors seulement, il y aura la paix sur la Terre. Pendant ce temps, Satan sera lié pour qu'il n'intervienne pas dans les affaires des hommes et ne nuise pas à leur règne sur la création (Apocalypse 20:2-6). À la fin de ce règne de justice, tous les hommes de toute l'histoire de l'humanité seront jugés. Les pécheurs seront jetés dans l'étang de feu avec Satan et ses acccolytes (Apocalypse 20:7-15). Pour les justes, Dieu créera un nouveau ciel et une nouvelle Terre (2 Pierre 3:13). «Il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni travail; car les premières choses sont (c.-à-d. auront) passées» (Apocalypse 21:4). Nous aurons de nouveau accès à l'arbre de vie (Apocalypse 2:7 et 22:2-3). «Le loup habitera avec l'agneau, et le léopaerd gîtera avec le chevreau... On ne fera point de mal... car la Terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel» (Ésaïe 11:6-9). «Au lieu du buisson croîtra le cyprès, au lieu de l'épine croîtra le myrte» (Ésaïe 55:13). Comme les choses seront différentes, lorsque la malédiction ne pèsera plus sur nous!

Conclusion

Dans la vision que Jean a du Ciel, ceux qui sont autour du thrône louent Le Seigneur de Sa création, en disant : «Seigneur, tu es digne de recevoir la gloire, l'honneur, et la puissance; car Tu as créé toutes choses, et c'est par ta volonté qu'elles existent et ont été créées!» (Apocalypse 4:11). Ils Le louent aussi de Sa re-création : «L'Agneau qui a été immolé est digne de recevoir puissance, et richesse, et sagese, et force, et honneur, et gloire, et louange» (Apocalypse 5:12). Nous qui sommes assis avec Lui dans le royaume des cieux en Jésus-Christ ne pouvons rien faire de plus précieux que de joindre nos voix à celles de ce choeur.
 

Les versets bibliques sont tirés de 'La Bible' version d'Ostervald Révisée; Édition de 1996

David Rosevear
 
 

DEVRIONS-NOUS CHERCHER UNE FORME D'INTELLIGENCE EXTRATERRESTRE ?

On nous bombarde de rumeurs selon lesquelles il y aurait vraiment, quelque part, une forme d'intelligence extraterrestre. Les revues populaires affichent en manchette : « On se relance en quête de vie dans l'espace », ou « Les mondes extraterrestres : on intensifie les recherches ». Les films à grand spectacle, comme E.T. et Close Encounters , avec leurs effets spéciaux étourdissants, transportent l'imagination des gens et leur font croire que quelqu'un, ou quelque chose, tout là-haut, serait bel et bien en train d'essayer de communiquer avec les humains. Toute cette publicité entraîne même des Chrétiens à croire à l'existence des extraterrestres.

Mais quel est donc le motif de cette recherche ? Pourquoi les gens qui croient aux extraterrestres désirent tant établir contact avec eux ? Selon le grand écrivain de science fiction, Arthur C. Clarke, les extraterrestres diffuseraient continuellement, à l'intention de leurs voisins moins avancés, une « Encyclopédie galactique » facilement décodable. Cette encyclopédie pourrait même bien contenir les réponses à toutes les questions que se posent nos philosophes et nos savants depuis des siècles; de plus, nous pourrions y trouver la solution à plusieurs des fléaux de l'humanité.

John Billingham, chef de la Division de la recherche sur les extraterrestres de la NASA, nous assure « qu'en détectant même un seul signal, nous pourrions répondre à bien des questions fondamentales, comme... Que faisons-nous sur cette terre ? Où nous en allons-nous ? »

RÉPONSES AUX QUESTIONS DE LA VIE

Bien sûr, qu'il nous faut des réponses aux questions que nous nous posons dans la vie. Mais nous n'avons pas besoin d'attendre que des extraterrestres nous envoient une Encyclopédie galactique, comme le suggère M. Clarke. Dieu nous a déjà fourni une Encyclopédie biblique juste ici, sur la terre. La Bible, qui est la Parole de Dieu, contient déjà les réponses aux questions que se posent les philosophes et les savants depuis des siècles.
 

Dans Son « encyclopédie », Dieu nous enseigne les origines de l'homme, sa séparation de Dieu par le péché et son besoin de recevoir le pardon. Dans cette « encyclopédie », Dieu nous parle aussi de l'amour dont Il a fait preuve en envoyant Son fils, Jésus-Christ, payer la ransom du péché de l'homme (c'est ça, son plus grand fléau...). Malheureusement, l'homme s'est rebellé contre son créateur et a rejeté ce message (1 Corinthiens 1:18; Romains 1:18-21). Il cherche donc les réponses partout ailleurs... même auprès de civilisations extraterrestres dont il invente l'existence.

Le plus triste, c'est que tout ce que l'homme désire ardemment obtenir des extraterrestres, il l'a déjà reçu de Jésus; mais il rejette Jésus. L'homme désire la paix, mais il rejette le Prince de la paix (Ésaïe 9:6). Il voudrait savoir où va sa vie, mais il se détourne de la Lumière du monde (Jean 8:12). Il cherche à résoudre les problèmes de la vie, mais il ne reconnaît pas la cause même de ces problèmes (le péché) et rejette le remède qui lui est offert pour l'éternité (1 Jean 5:!1-13). L'homme dépense des millions de dollars pour essayer de détecter quelques faibles signaux diffusés de l'espace, et pourtant il méprise le « don de Dieu » (Romains 6:23), qui lui donne accès à la sagesse et à la connaissance infinies de Dieu (Proverbe 1:7; 1 Corinthiens 2:10-16; Jacques 1:5).

MAUVAIS RAISONNEMENT

L'idée que d'autres civilisations pourraient exister quelque part dans l'espace est le fruit d'hypothèses évolutionnistes. En supposant que la vie sur terre évolue, la vie doit évoluer aussi dans d'autres régions de l'univers, puisque l'univers est immense. Ce raisonnement est faux, parce que la théorie de l'évolution n'est pas biblique et qu'elle ne repose sur aucun fait scientifique.
 

Oui, une intelligence extraterrestre nous a réellement envoyé un message et, dans ce message, nous trouvons la solution réelle aux problèmes fondamentaux de notre vie : « Car Dieu a tant aimé le monde... » (Jean 3:16).

Si l'on détectait, un jour, une combinaison bien ordonnée de signaux radiophoniques diffusés de l'espace, on annoncerait tout de suite avec enthousiasme avoir reçu la preuve qu'il existe une forme d'intelligence, « quelque part, là-haut, dans l'espace ». Et pourtant, ici sur terre, dans tout ce qui vit, la matière est ordonnée d'une façon magistrale. Selon les évolutionnistes, ces structures bien ordonnées sont le fruit des processus de la nature, et non celui de l'intelligence de notre Créateur. Les adeptes de la recherche d'intelligence extraterrestre se rendent volontairement aveugles.

par David Laughlin
 

LES ÉVOLUTIONNISTES DÉMENTISSENT L'ÉVOLUTION

Adapté d'un article de
John V. Collyer
traduit avec permission
Nous sommes portés à croire que tous les scientifiques acceptent la théorie de l'évolution et que ses principes généraux sont solidement établis, et ceci de longue date. Mais ce n'est pas vrai du tout. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur ce que les hommes de sciences affirment à ce sujet. Par exemple, dans le New Scientist du 12 septembre 1985, on peut lire à la page 59: «Pour ceux qui s'intéressent au Darwinisme, il y a de quoi s'y perdre. Ils se heurtent à une variété d'opinions scientifiques déconcertante: certaines adhèrent au Darwinisme, d'autres le font moins, et d'autres encore semblent presque s'y opposer». Il s'agissait de la critique d'un livre intitulé What Darwin Began (Qu'a donc déclenché Darwin!), qui visait à guider ses lecteurs «à travers la jungle évolutionniste».
 
 

La théorie de l'évolution n'a jamais manqué de critiques. Certaines des plus sévères provenaient des Évolutionnistes eux-mêmes.
 
 

Contrairement à ce que l'on a tendance à croire, il n'existe pas une Théorie de l'évolution sur laquelle tous s'entendent: il en existe un grand nombre, et elles s'opposent toutes les unes aux autres. L'auteur de cet article possède une liste de plus de cinquante théories de l'évolution sur lesquelles on se dispute. Chaque fois que quelqu'un émet une nouvelle théorie, il s'acharne à démontrer les erreurs des théories précédentes. Darwin lui-même fut l'un des premiers à le faire, en soulignant toutes les erreurs que contenait The Genesis of Species (La Genèse des espèces) que St. George Mivart avait publié en 1871. Mivart répliqua en traitant la théorie de Darwin «d'hypothèse puérile». Darwin entreprit aussi de démolir la théorie de Lamarck, selon laquelle chaque génération acquiert de nouvelles caractéristiques palliant aux manques physiques qu'ont dû surmonter ses ancêtres.
 

 
Jean Baptiste de Lamark
1744 - 1829

Dans son Origine des espèces, Darwin consacre un chapitre entier à énumérer les raisonnements que l'on pourrait présenter à l'encontre de sa version de l'évolution. Ce qui ne surprend nullement, puisque son livre contient plus de 800 assertions qui n'ont rien de scientifique. Il y utilise d'innombrables «il est possible que...», «nous sommes d'avis que...», «si l'on suppose que...», et «peut-être est-il arrivé que...». On ne se sert pas d'expressions de ce genre pour décrire des faits scientifiquement établis. Darwin fait remarquer que: «S'il arrivait que l'on puisse démontrer l'existence d'un organe complexe, quel qu'il soit, qui n'aurait pas pu se former à la suite d'une série d'innombrables modifications légères, alors ma théorie s'effondrerait». Il écrivit ces lignes en sachant pertinemment que les preuves obtenues des fossiles n'appuyaient pas sa théorie. Darwin haussa les épaules en supposant que «les dossiers des géologues étaient imparfaits».
 
 
 
 

Des hommes de science s'opposent à Darwin
 
 

Lorsque Les origines fut publié, Darwin fut très déçu que l'on considère son oeuvre comme de la spéculation pure et simple. Les critiques firent remarquer que les preuves données n'en appuyaient pas les théories. Ses critiques des milieux scientifiques l'accusèrent d'avoir délaissé le sentier du raisonnement par induction pour se lancer dans une hypothèse incontrôlée, hors du domaine scientifique. Sir J.F.W. Herschel, le grand astronome, surnomma la théorie de la sélection naturelle de Darwin «la loi pêle-mêle»; il exprimait ainsi son dédain pour une théorie qui faisait reposer un processus biologique sur toute une série de hasards. Certains firent alors remarquer, et d'autres l'ont fait bien des fois depuis, que la notion de sélection naturelle (ou «la loi du plus fort», comme on l'a appelée plus tard) était une tautologie sans profondeur. Quelles espèces survivent? Eh bien, les plus fortes. Et lesquelles sont les plus fortes? Mais voyons, celles qui survivent, bien sûr!
 
 

En 1932, les évolutionnistes J.B.S. Haldane et Julian Huxley annoncèrent que «Darwin était mort»... ils parlaient de sa théorie, bien sûr. Ils présentèrent alors une nouvelle théorie fondée sur une science que l'on venait de découvrir, la génétique. Quelques années plus tard, ils publièrent une mise à jour de leur théorie dans un livre intitulé Evolution, the Modern Synthesis (L'évolution ou la synthèse moderne). Puis les théories se succédèrent au rythme d'environ une par année; chaque nouvelle publication soulignait les erreurs des précédentes. Mais on ne pouvait pas abandonner la notion d'évolution qui était à la base de chacune de ces théories pour celle de la création, car les conséquences religieuses auraient été trop graves.
 
 

Julian Huxley
1887 - 1975"

Une science peu scientifique
 
 

Les théories évolutionnistes expliquent généralement que le progrès de l'évolution se manifeste par une série de petits changements qui surviennent dans une longue succession d'organismes. Mais en 1940, Richard Goldschmidt, dans son Epigenic Evolution, suggère que l'évolution s'est manifestée en une série de pas de géant : un oiseau primitif serait peut-être sorti d'un oeuf de dinosaure, ou un singe aurait donné naissance à un proto-humain. Cette théorie a été surnommée la théorie du monstre plein d'espoir. Bien des gens ont trouvé cette idée si peu scientifique plutôt imaginative et amusante : d'abord... avec qui une créature si entièrement nouvelle allait-elle s'accoupler?
 
 

Et voici l'exemple de l'homme de science le moins scientifique que l'on ait jamais vu : Dans «Chemical Studies in the Origin of Life» («Une étude chimique des origines de la vie»), Space Life Science I, 1968, p.64, C. Ponnamperuma écrit : «La génération spontanée d'un organisme vivant est impossible... et pourtant nous sommes, j'en suis convaincu, le résultat d'une génération spontanée» (pas d'italique dans le texte). S'il était capable d'accepter ce miracle, pourquoi n'acceptait-il pas celui de la création?
 
 
 
 

La théorie changeante
 
 

Dans une réadaptation de l'article de W.B. Provine intitulé «Modern Synthesis» (La synthèse moderne) («The Evolution of Darwinism», Scientific American, Juillet 1985, p.54), on écrivait : «En démontrant que le processus évolutionniste est, au niveau de l'ADN, bien plus complexe qu'on l'avait cru, la nouvelle biologie moléculaire jette le doute sur certaines convictions passées». Suivant la même idée, l'évolutionniste américain Niles Eldredge écrivait : «Le lecteur avide de revues scientifiques ne peut s'empêcher de constater qu'une rumeur s'est répandue chez les non scientifiques : selon eux, il y a quelque chose de corrompu dans l'état du darwinisme» (Nature, 22 août 1985, p. 683). Mais ceci ne faisait que préparer le lecteur à une autre théorie, celle des Équilibres ponctués, qui n'était en fait qu'une version révisée de celle du monstre plein d'espoir. Ses auteurs s'efforçaient de résoudre le problème des formes intermédiaires manquant aux dossiers des fossiles en suggérant d'énormes sauts d'une espèce à une autre. Prévoyant que quelqu'un avancerait cette hypothèse, Darwin l'avait tout de suite rejetée en la déclarant contraire aux lois de la nature : «Natura non saltum», avait-il affirmé, la nature ne saute pas. Un an plus tard, ce même Niles Eldredge écrivait dans le New Scientist (du 5 juin 1986, p.54) qu'il cherchait «une théorie évolutionniste qui s'harmonise mieux à la réalité historique de la vie sur terre». Il semblait lui-même peu satisfait de la théorie qu'il avait avancée il y avait un an à peine. Peu de temps après, il accueillait avec un fiel peu commun la nouvelle théorie du dynamisme évolutionniste de son associé Stephen Gould.
 
 
 
 

Encore des critiques
 
 

Le fait que la théorie de l'évolution présente encore tant de lacunes et qu'il faille en produire tant de versions révisées indique que ceux qui y croient ne sont pas si sûrs de sa véracité.
 
 

Même Nature, une revue fortement évolutionniste, publiait un article selon lequel «le darwinisme n'explique pas l'évolution à long terme de façon satisfaisante» («The Developing Theories of Evolution», 2 novembre 1984, p.386). Un peu plus tard, on trouvait, dans un autre article, une affirmation à peu près semblable : «La première question que soulève l'évolution reste aujourd'hui celle que l'on se posait du temps de Darwin - étant donné que nous descendons tous d'un même ancêtre, d'où vient la diversité extraordinaire de la vie?» (le 20 juillet 1988, p.206).
 
 

Dans son livre intitulé Evolution: a Theory in Crisis (L'Évolution : une théorie en crise) (Londres: Burnett, 1985, p.358), le Dr Michael Denton, biologiste moléculaire, écrit :«La théorie darwinienne de l'évolution est ni plus ni moins le grand mythe cosmogonique du vingtième siècle». (Et pourtant, le Dr Denton reste un évolutionniste convaincu!) Søren Løvtrup, professeur suédois de zoophysiologie à l'université Umea, écrivait dans Le darwinisme : le rejet d'un mythe (Croom Helm, 1989, p.352) : «La théorie darwiniste de la sélection naturelle, qu'elle soit liée au mendelisme ou non, est erronée.... par conséquent, il est évident que cette théorie a été faussée, alors pourquoi ne l'a-t-on pas abandonnée? Je crois que c'est parce que les évolutionnistes d'aujourd'hui suivent l'exemple de Darwin : ils refusent d'accepter des preuves qui induisent en erreur.» Dans The Great Evolution Mystery (Le grand mystère de l'évolution) (1983, p.137), G. Taylor écrit : «La théorie de l'évolution par sélection naturelle semble soit inadéquate, soit invraisemblable, soit définitivement fausse.» De la part d'un évolutionniste, cette déclaration est percutante. De plus, dans Evolution of Living Organisms (L'évolution des organismes vivants) (1977, p.202), un autre évolutionniste, Pierre P. Grassé, écrivait : «Les doctrines qui tentent d'expliquer l'évolution biologique ne résistent pas à une critique objective approfondie. Soit qu'elles contredisent la réalité, soit qu'elles s'avèrent incapables de résoudre le sérieux problème qui se pose».
 
 

En expliquant en détails pourquoi toutes les théories évolutionnistes précédentes ne tenaient pas debout, Richard Dawkins écrivait, dans The Selfish Gene (Le gène égoïste) : «superficiellement, si la création ne s'est pas faite au hasard, la seule autre explication est celle d'un créateur intelligent». Mais, plutôt que d'accepter la solution qui lui sautait aux yeux, il a opté pour «un gène intelligent». Plus tard, il y a repensé. Il a dénoncé publiquement certaines de ses erreurs et a publié une nouvelle édition de son livre sur le gène égoïste. Et pourtant, le Dr Dawkins reste évolutionniste, même après avoir décelé les erreurs des théories avancées par d'autres et certains des problèmes que généraient ses propres idées.
 
 

Dans une conférence qu'il donnait sur Darwin à la British Association (en septembre 1980), le Dr John Durant, de University College, à Swansea, se plaignait en ces termes : «On a fait un mythe moderne de l'explication évolutionniste qu'a donnée Darwin des origines de l'homme, au grand détriment de la science et du progrès social » (New Scientist du 11 septembre 1980, p. 765). Le Dr Durant percevait l'effet désastreux qu'avait cette théorie non seulement sur la science en général, mais sur l'attitude des hommes les uns envers les autres.
 
 

Charles Darwin
1809 - 1882

Le point de vue des biologistes
 
 

Il y a quelques années, on publiait dans Nature (le 12 mars 1981, p. 82) une lettre importante rédigée par vingt-deux biologistes du British Museum of Natural History. Dans cette lettre, ces hommes déclaraient «nous n'avons aucune preuve absolue de la véracité de la théorie de l'évolution ... et la théorie de l'évolution serait vite délaissée si l'on en découvrait une meilleure». Dans le même numéro de Nature (p.78), l'éditorialiste s'interrogeait : «À quel point la théorie de l'évolution est-elle vraie? La théorie de l'évolution de Darwin est-elle véridique, ou s'agit-il d'un tissu de mensonges? Ou alors, est-elle à moitié vraie et à moitié fausse?» Il admettait que «des segments importants de la population doutent du darwinisme». Il suggérait même que «l'on aurait fini par fausser le darwinisme». Provenant de l'éditorialiste d'une revue fondée dans le but de promouvoir l'évolution, ces observations sont plutôt renversantes.

Conclusion
 
 

Bien que depuis plus d'un siècle, les hommes de sciences mènent d'intenses recherches pour prouver l'authenticité scientifique de la théorie de l'évolution, personne n'y est encore parvenu. En fait, de nombreux évolutionnistes la considèrent comme une supposition très mal fondée. Les mécanismes évolutifs proposés comportent de si graves lacunes, qu'encore aujourd'hui, les scientifiques la réexaminent de fond en comble. Ceci même devrait prouver que la théorie de l'évolution ne peut pas être considérée comme étant purement scientifique... et que l'on ne devrait surtout pas traiter ses hypothèses comme des faits.
 
 

Il serait donc ridicule de croire que, d'une façon ou d'une autre, l'évolution a vraiment eu lieu. On nierait ainsi l'existence du Dieu tout-puissant et l'autorité de Sa parole. D'ailleurs,

«L'insensé a dit en son coeur : Il n'y a point de Dieu!» (Psaumes 14:1)
 

L'Arche de Noé

Adapté du vidéo « le monde qui a péri »
de Films for Christ
réaliser par Paul S. Taylor

Et l'Éternel vit que la malice de l'homme était grande sur la terre, et que toute l'imagination des pensées de son coeur n'était que mauvaise en tout temps. Et l'Éternel se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et il en fut affligé dans son coeur. Et l'Éternel dit: J'exterminerai de dessus la terre l'homme que j'ai créé; depuis l'homme jusqu'au bétail, jusqu'au reptile, et jusqu'à l'oiseau des cieux; car je me repens de les avoir faits. Genèse 6:5-7
 

À l'heure actuelle, des savants relisent le récit du déluge de Noé pour voir si les faits relatés sont possible à la lumière des connaissances que nous avons acquises en géologie et en construction navale. Nous trouvons, dans le livre de la Genèse, quelques détails surprenants concernant l'arche. Dieu dit à Noé :

Fais-toi une arche de bois de gopher; tu feras l'arche par loges, et tu l'enduiras de bitume par dedans et par dehors. Et voici comment tu la feras: La longueur de l'arche sera de trois cents coudées, sa largeur de cinquante coudées, et sa hauteur de trente coudées. Tu feras une fenêtre à l'arche, et tu l'achèveras à une coudée par en haut; et tu mettras la porte de l'arche sur son côté; tu la feras avec un étage inférieur, un second, et un troisième. Genèse 6:14-16

La plupart des érudits croient qu'une coudée représentait environ 46 centimètres (18 pouces), de sorte que l'arche devait avoir 137 mètres de long (450 pieds) sur 23 mètres de large (75 pieds) et 14 mètres de haut (45 pieds). L'arche de Noé a été le plus grand bateau jamais construit, jusqu'à ce que, à la fin du 19e siècle, les hommes se mettent à construire de gigantesque navires en acier. L'arche était 6 fois plus longue que large, ce qui est excellent pour la stabilité en haute mer. Les constructeurs navals disent qu'il était pratiquement impossible qu'elle chavire. À tous égards, elle était admirablement conçue pour résister pendant toute une année aux assauts d'une mer en furie.
 
 

Ces dimensions sont particulièrement intéressantes lorsque nous les comparons à celles qui sont décrites dans la légende babylonienne. Dans ce récit, ont dit que l'arche avait la forme d'un cube parfait dont chaque côté mesurait plus de cent vingt coudées et qu'elle avait neuf ponts. Un tel vaisseau tournerait sur lui même continuellement... et du point de vue de la stabilité, ce serait un désastre !
 
 

Mais l'arche étaient-elle assez grande pour contenir tous les animaux à héberger ?
 
 

L'arche comprenait en tout 9 290 m2 (plus de 100 000 pi2) d'espace disponible, ce qui équivaut à la superficie de plus 20 stades de basket-ball. Son volume total était de 42 960 m3 (1 518 000 pi2) soit la capacité de 569 wagons de marchandise.
 
 

La question est maintenant de savoir combien d'animaux vivant sur terre devaient être pris dans l'arche pour survivre au déluge...
 
 

Selon Ernest Mayr, le plus grand expert américain en matière de classification, il existe plus d'un million d'espèces d'animaux dans le monde. Toutefois, la majorité de ces espèces pouvaient survivre dans l'eau et il n'était pas nécessaire de les faire entrer dans l'arche.
 
 

Noé n'avait pas à s'occuper des 21 000 espèces de poissons et des 1 700 tuniciers; ni des 600 espèces d'échinodermes, y compris les étoiles de mer ni des 107 000 mollusques, tels que les moules, les palourdes et les huîtres; ni des 10 000 coelentérés comme les coraux, les anémones de mer et les méduses; ni, enfin, des 30 000 protozoaires, qui sont des créatures unicellulaires microscopiques.
 
 

De plus, plusieurs mammifères sont aquatiques : par exemple, les baleines, les phoques et les marsouins. Nul besoin d'inclure les amphibies, ni tous les reptiles, les tortues de mer, les caïmans et les crocodiles. D'autres part, un grand nombres d'arthropodes, dont on compte 838 000 espèces, comme les langoustes, les crevettes, les puces aquatiques et les crabes, sont des créatures marines, et il y a peu d'insectes parmi les arthropodes. De même, un grand nombre des 35 000 espèces de vers ainsi que beaucoup d'insectes ont pu survivre hors de l'arche.
 
 

Dr Morris et Dr Whitcomb, dans leur ouvrage réputé, intitulé The Genesis Flood (Le déluge de la Genèse) affirment que l'arche n'avait pas à héberger plus de 35 000 animaux. Mais soyons généreux et ajoutons tant soit peu à ce nombre, en tenant compte des espèces disparues et pour ajouter une certaine marge qui satisferait les sceptiques : supposons qu'il y avait 50 000 animaux dans l'arche. Évidement, Noé n'était pas tenu de prendre les animaux les plus grands ni les plus âgés; il existe en fait peu de grands animaux comme le dinosaure ou l'éléphant, et il aurait pu choisir de jeunes animaux parmi ces espèces.
 
 

Supposons que l'animal moyen avait la grandeur d'une brebis. Or, un wagon de marchandise moyen à deux ponts peut contenir 240 de ces animaux. Donc trois trains tirant 69 wagons chacun suffiraient pour transporter les 50 000 animaux, ce qui ne représenterait que le 37% de la capacité de l'arche. Il resterait 361 wagons, soit 5 trains de 72 wagons chacun pour transporter toute la nourriture et les bagages, plus la famille de Noé, qui comptait huit personnes. Il y avait donc beaucoup de place dans l'arche.
 
 

Le problème majeur a du être la construction de l'arche. Le Bible affirme que Noé a suivi consciencieusement les directives de Dieu. Nous pouvons supposer qu'il a aussi engagé des artisans en plus des membres de sa famille.

Certains soulèvent également la difficulté de rassembler deux spécimens de chaque espèce et de les faire entrer dans l'arche. Toutefois, le récit de la Genèse nous dit que c'est Dieu qui rassembla les animaux et qui les fit entrer vers Noé deux par deux dans l'arche. (Genèse 6: 20)
 
 

Certains pensent que les problèmes n'ont vraiment surgi qu'une fois que tous se sont trouvés à bord, puisqu'il n'y avait que huit personnes pour nourrir, aérer, abreuver et nettoyer cette immense ménagerie pendant 371 jours. Toutefois, bien des savants pensent que les animaux ont pu tomber dans un état de léthargie, qui est une faculté latente d'hibernation qui existe dans presque toutes les espèces animales. Peut être cette faculté s'est-elle surnaturellement intensifiée pendant ce voyage. Avec leurs fonctions physiques réduites à un minimum, les animaux auraient nécessité beaucoup moins d'attention.
 
 

Conclusion
 
 

Lorsqu'on considère tous les faits, il devient évident que la science ne prouve pas du tout que le récit de l'arche. de Noé était un mythe ou une invention. Les faits prouvent que l'arche de Noé était assez grande pour transporter le nombre d'espèces animales qu'il fallait pour repeupler la terre après le déluge, et que Noé et les membres de sa famille étaient parfaitement capables de s'occuper de ces animaux pendant le temps qu'ils ont passé dans l'arche.
 
 

Le déluge que Dieu a envoyé au temps de Noé était un jugement du péché sur la terre entière. Dieu a détruit le monde de cette époque à cause de la méchanceté de ses habitants. Lorsque nous observons la nature et que nous y voyons les témoignages du déluge, Dieu nous rappelle qu'Il juge le péché. Il nous rappelle aussi qu'Il sauve de ce jugement tous ceux qui Lui font confiance. Dieu nous promis qu'Il ne détruirait plus jamais la terre par un déluge, mais qu'Il lui a réservé un autre jugement à venir. Jésus-Christ est venu dans le monde pour mourir pour nos péchés et pour rétablir la communication entre Dieu et l'homme... nous n'avons donc pas à craindre Son jugement.
 
 

Noé a supplié les hommes de son époque d'avoir foi en Dieu. Mais ils ne l'ont pas écouté, et Dieu a fermé les portes de l'arche. Maintenant, Christ supplie une deuxième fois les habitants du monde de se confier en Dieu. Répondras-tu à Son appel, pour échapper au jugement à venir? À toi de décider.
 
 

Par la foi, Noé, divinement averti des choses qu'on ne voyait point encore, fut rempli de crainte, et construisit une arche, pour le salut de sa famille; par elle il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui est selon la foi. (Hébreux 11:7)
 
 
 

CRÉATION \ ÉVOLUTION
FAUT-IL TRANCHER ?
 
 
 

Les Éditions SATOR viennent de sortir de presse un livre qui porte le titre indiqué ci-dessus et qui a pour auteur M. Jean Humbert. Le débat autour de ce thème ayant déjà provoqué pas mal de perplexité et de regrettables divisions parmi les évangéliques, il nous a paru nécessaire d'examiner sommairement, à la lumière des Écritures, la thèse exposée.
 
 

A LA RECHERCHE D'UNE SYNTHESE.

Biologiste et géologue, agrégé de sciences naturelles, Jean Humbert a voulu présenter une critique de ce qu'il appelle le néo-créationnisme (1) avec un plaidoyer en faveur de l'évolutionnisme théiste (2) ou créationnisme progressif. Membre responsable d'une église baptiste parisienne et longtemps président de la Commission des études dans l'Association Évangélique d'Églises Baptistes de Langue Française, notre frère n'ignore pas ce que dit l'Écriture au sujet de la création de l'homme à partir de la poussière de la terre (Genèse 2:7). Mais il s'est trouvé, dit-il, dans une sorte de schizophrénie intellectuelle inconfortable, et il a cherché depuis de nombreuses années à réaliser une synthèse entre l'évolutionnisme, considéré comme scientifique par ses partisans, et le créationnisme biblique. Jean Humbert a donc tenté d'harmoniser les deux en proposant l'hypothèse d'une création progressive qui suppose que l'homme a émergé de l'animalité sous l'action de Dieu.
 
 

ON S'ÉLOIGNE DE L'ENSEIGNEMENT BIBLIQUE.

Une telle hypothèse se heurte évidemment à l'enseignement biblique. Jean Humbert en est bien conscient, puisqu'il dit lui-même: « quand nous émettons l'hypothèse qu'un homme est né d'un être vivant précurseur (disons, faute de mieux, un pré-homme) par une mégamutation miraculeuse, nous semblons nous éloigner du texte de Genèse 2:7, et il est compréhensible que des chrétiens bibliques nous le reprochent » (p.203). Il reconnaît aussi que le créationnisme progressif qu'il défend « propose sur la manière utilisé par Dieu pour créer l'homme, une description apparemment différente de celle du récit biblique » (p.203). En réalité, M. Humbert ne semble pas seulement s'éloigner du texte biblique, il s'en éloigne effectivement, et sa description de la création de l'homme n'est pas seulement apparemment différente de celle du récit biblique, elle l'est réellement. Mais pour lui, il s'agit là d'une lecture « naïve » du récit biblique (p.203) «(telle qu'on peut la faire à l'école du dimanche ou au catéchisme)»! (p.21). Il ne ménage pas ceux qu'il nomme les néo-créationnistes et auxquels il reproche leur littéralisme, voire leur hyperlittéralisme, leur naïveté, leur simplisme, leur partialité, leur synthèse illusoire, leurs explications puériles et fantaisistes, (p.180), leurs affirmations gratuites et leurs spéculations (p.156),

qui les ont fait construire, toujours selon M. Humbert, un véritable roman. A leur interprétation traditionnelle, il oppose l'interprétation littéraire, emboîtant ainsi le pas à M. Henri Blocher, (3) qui a d'ailleurs accepté de préfacer ce livre. Ceux que H.Blocher qualifie d'anti-scientistes qui font de la pseudo-science (p.157). Il les compare à certains auteurs fantaisistes dont les ouvrages ont été de grands succès de librairie (p.157), et il jette aussi le discrédit sur la Création Research Society (Société de recherches sur la création), qui compte plus de 600 savants chrétiens diplômés de l'enseignement supérieur, et qu'il désigne comme un mouvement à prétentions scientifiques (p.17). Tout cela nous paraît extrêmement désobligeant à l'égard de frères et de collègues attachés à la Parole de Dieu, et dont beaucoup ont sans doute reçu une formation du moins égale à celle dont peut faire état M.Humbert. Cela soit dit sans l'intention de porter atteinte aux compétences de J. Humbert qui présente dans son ouvrage une information scientifique fort intéressante que nous laissons à de plus qualifiés que nous le soin d'analyser. Les divergences apparaissent surtout au niveau de l'interprétation de ces données, des présupposés et des déductions avec lesquels on peut ne pas être toujours d'accord, même si l'on doit passer pour naïf, simpliste ou fantaisiste aux yeux de certains, qui ont sans doute oublié ces propos du célèbre biologiste Jean Rostand: « Les évolutions sont des contes de fées pour grande personne »!
 
 

NE PAS TORDRE LE SENS DES ÉCRITURES.

Ce qui nous intéresse en premier lieu, c'est l'aspect biblique de la question, et ce qu'entend M. Humbert par une herméneutique (4) renouvelée (p.210). Il nous propose comme conclusion à son interprétation la paraphrase suivante de Genèse 2:7: « Dieu a créé la vie en construisant une structure très complexe, stable et autoreproductible à partir des éléments chimiques minéraux. Au terme d'une très grande évolution biologique, qu'il a dirigée, il a fait surgir l'homme à partir d'un précurseur vivant. Il lui a donné son souffle de vie, un souffle différent de celui qu'il a donné aux animaux.» (p.207). Mais que dit l'Écriture ? A celui qui lit Genèse 2:7 sans aucun préjugé, il apparaît clairement que Dieu forma d'abord le corps humain à partir de la poussière de la terre, qu'il insuffla ensuite dans ses narines une haleine de vie et qu'ainsi l'homme devint un être vivant, ou une âme vivante, terme par lequel sont aussi désignés les animaux (Genèse 1:20, 21, 24 et 30). Si donc le corps de l'homme ne devint un être vivant qu'à la réception de ce souffle de vie, c'est qu'il ne fut pas précédemment un quelconque être vivant, autrement il serait écrit que Dieu prit un être vivant, animal ou pré-homme, et le transforma en homme. Ainsi, toute l'hypothèse évolutionniste théiste, ou créationniste progressive, s'écoule devant la Parole de Dieu, sauf pour ceux qui mettent en doute ce qui est écrit, répétant en quelque sorte le « Dieu a-t-il réellement dit ? » de Genèse 3:1. Tout lecteur attentif qui compare la paraphrase citée plus haut à ce que dit l'Écriture se rend vite compte de la façon dont on manipule ici le texte biblique pour faire passer une hypothèse qui n'a aucun fondement scripturaire.

Avec de tels procédés on peut faire dire à la Bible n'importe quoi. Il se trouve malheureusement des responsables d'églises évangéliques et des professeurs souscrivant à des confessions de foi bibliques qui considèrent cette hypothèse comme une option acceptable au même titre de la doctrine de la création telle qu'elle est présentée dans l'Écriture, alors que l'une exclut manifestement l'autre. Car, si Dieu a créé l'homme directement à partir de la terre, il ne l'a pas produit par mutation à partir d'un précurseur vivant, animal ou hominidé. « Faut-il trancher ?» demande J. Humbert dans le sous-titre de son livre. Mais la Bible a déjà tranché et nous n'avons rien à retrancher ou à ajouter ! Il faut dire que pour M. Humbert ce récit biblique est tout simplement symbolique, il constitu pour lui une « représentation figurée d'une chose réelle » (p.208), ce qui ouvre la porte aux interprétations les plus fantaisistes d'autres faits ou doctrines bibliques. La chute de l'homme, la naissance virginale de Jésus, sa résurrection, son ascension, etc. pourraient alors tout aussi bien être comprises symboliquement, comme le fait d'ailleurs la théologie libérale. Pierre appelle cela tordre le sens des Écritures (2 Pierre 3:16).
 
 

CRÉÉS SELON LEUR ESPECE

(Genèse 1:21)
 
 

Jean Humbert rappelle très justement que chaque être vivant, après avoir reçu de Dieu la vie, possède le pouvoir d'engendrer des êtres qui lui sont semblable (p.26), et il signale à ce propos l'expression « selon son espèce » est répété dix fois (dans Genèse 1). Il ne relève cependant pas que 7 fois sur dix cette expression ne se rapporte pas à la reproduction des espèces, mais à l'origine de chacune d'elles. En d'autres termes, la Bible affirme ici que les différentes sortes d'êtres vivants ont été produits telles quelles, c'est-à-dire sans qu'il y est une évolution des formes simples aux plus complexes. M. Humbert reconnaît quand même que pour prouver l'évolution il faudrait avoir observé l'apparition d'au moins une espèce nouvelle à partir d'une autre, ce qui n'a jamais encore été constaté. On constate plutôt la remarquable stabilité des espèces et l'absence de chaînons, c'est-à-dire de formes intermédiaires qui laisseraient supposer le passage d'une espèce à l'autre.
 
 

NI SCIENTIFIQUE, NI BIBLIQUE !

Curieusement, après avoir exposé son hypothèse à force d'arguments à caractère scientifique interprétés selon les vues évolutionnistes, J. Humbert déclare que tout ceci n'est qu'un essai sans prétention, et que l'explication qu'il propose n'est pas scientifique (p.215). Or, nous avons vu qu'elle n'était pas davantage biblique. Mais alors, qu'est-elle en réalité, si elle n'est ni scientifique, ni biblique, et que vaut-elle en fin de compte ? Nous ne voulons mettre en doute ni la bonne foi, ni les compétences scientifiques de notre frère, qui dans sa conclusion, laisse apparaître une prudence et une humilité qui contrastent singulièrement avec certains de ses propos méprisants signalés plus haut.

Nous regrettons simplement qu'il introduise dans son interprétation de la Bible des éléments qui sont non seulement étrangère des Écritures, mais manifestement en contradiction avec elles.
 
 

NE VOUS LAISSEZ PAS TROUBLER !

Disons pour conclure que le livre « Création \ Évolution » est bien rédigé et qu'à première vue l'argumentation semble si bien menée qu'elle pourrait troubler et influencer ceux qui ne possèdent pas en la matière une connaissance et une foi fondées sur la Parole de Dieu, pierre de touche et de toute hypothèse et de toute doctrine. Puissent les lecteurs de cet ouvrage examiner sérieusement l'hypothèse avancée, et toute nouvelle herméneutique, à la lumière des Écritures, pour ne pas se laisser emporter insensiblement par le courant néo-évangélique qui, ouvertement ou imperceptiblement, met en doute ce que dit la Bible en provoquant de regrettables divisions jusque dans les rangs de ceux qui professent encore leur foi en l'autorité d'une Écriture totalement inspirée de Dieu, et de ce fait inerrante et infaillible.
 
 

SATOR semble avoir créé spécialement une nouvelle collection intitulée « Opinions » pour publier ce livre. Est-ce à dire que cet éditeur diffuse ses vues évolutionnistes théistes parce qu'il les partage, ou sortira-t-il un de ces prochains jours dans la même collection un ouvrage qui présentera le point de vue créationniste biblique ?
 
 

Jean Hoffmann.
 
 
 
 

1.) M.Humbert appelle néo-créationnistes ceux qui pensent que la terre est bien plus jeune que ne l'affirment les évolutionnistes, et qui considèrent que tous les fossiles sont des restes des êtres que le déluge a anéantis.
 
 

2.) L'évolutionnisme théiste suppose que l'homme est le résultat d'une longue évolution, qui par mutations successives provoquées par Dieu, l'aurait fait sortir un jour du règne animal.
 
 

3.) « Révélations des origines » Presses Bibliques Universitaires.
 
 

4.) Herméneutique: science de l'interprétation des textes bibliques.
 
 

NOTE:

Sur la couverture du livre « Création \ Évolution » on a reproduit les deux mains de la célèbre fresque de Michel-Ange représentant la création d'Adam sur la voûte de la chapelle Sixtine (Vatican). Mais sur l'original, l'index de la main droite du Dieu créateur effleure presque l'index de la main gauche de l'homme, tandis que sur ladite couverture le doigt de Dieu est séparé de celui d'Adam par un espace présentant 25 bâtonnets de plusieurs couleurs et dimensions qui semblent devoir indiquer que l'homme n'est pas sorti directement des mains de Dieu, mais qu'il y a eu de multiples chaînons intermédiaires. On a voulu mettre l'image -- comme le texte biblique -- en « harmonie » avec l'hypothèse évolutionniste, en tordant le sens des deux !
 
 
 
 

On peut se procurer gratuitement un tiré à part du texte ci-dessus et \ ou un exemplaire de « Bible et néo-Évolutionnisme » en s'adressant au:

CRIE, BP. 1422
F-68071 Mulhouse Cedex
 
 

Nous recommandons aussi particulièrement le « Manifeste créationniste » (Positions créationnistes No.13) qui vient d'être traduit en français et que l'on peut obtenir à l'adresse suivante:

« Association Création,
Bible et Science »
Case Postale 4
CH-1001 Lausanne
 

au prix de FS 3. - (FF 12. -) l'exemplaire.
A partir de 10 exemplaires:
FS 2. - (FF 8. -) l'exemplaire.
La Bonne Nouvelle 1\91.
 
 

Le Pic-Bois :
Un "design" parfait d'un Maître Créateur Parfait
 
 

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PIC (lat. picus) Cet oiseau qui se présente sous différentes couleurs et grandeurs est plus connu au Québec sous le nom du Pic-bois. Le Pic-bois possède plusieurs caractéristiques qui ne se retrouvent sur aucun autre oiseau. Est-ce que ces caractéristiques sont l'œuvre du fruit du hasard et de la lutte pour la survie (évolution) ou l'œuvre d’un Maître Créateur (Dieu) ? La Bible nous met à l’épreuve en déclarant :
 

Mais intérroge donc les bêtes, et elles t'instruiront; ou les oiseaux des cieux, et ils te l'annonceront; Ou parle à la terre, et elle t'instruira; et les poissons de la mer te le raconteront. Qui ne sait, parmi tous ces êtres, que la main de Dieu a fait cet univers? Job 12:7-9
 

Il ne fait aucun doute que lorsque nous regardons les caractéristiques du Pic-bois, nous voyons que la main de Dieu a bien créé cet oiseau de façon remarquable et la théorie de l’évolution ne fait pas le poids.
 

Supposons pour un instant que le Pic-bois est le fruit de l’évolution. Voyons les difficultés que l’oiseau aurait afin d’évolué et de devenir un véritable Pic-bois ?
 

Le Pic-bois passe sa vie à percer des trous dans les arbres afin d’en retirer les insectes pour se nourrir. Pour en arriver à percer l’arbre, il se doit d’avoir un bec très dur et pointu. Imaginons le premier oiseau qu’il eut cette idée. Pauvre oiseau il n’a pas le bec assez dur et pointu. Cet oiseau se serait découragé très vite.
 
 

Mais supposons qu’il avait déjà le bec dur. Pourrait-il poursuivre cette aventure sans conséquence majeure? Malheureusement non. Il se retrouvera avec un méchant mal de tête.
 

Le Pic-bois est le seul oiseau avec des amortisseurs entre le bec et son crâne pour absorber les coups afin qu’il ne se blesse pas et n’ait aucun mal de tête. Si l’évolution est véritable nous devrions retrouver des milliers de fossiles d’oiseaux avec des becs cassés ou enfoncés dans le crâne, ce qui n’est pas le cas.
 

Mais supposons que l’oiseau avait un bec dur et des amortisseurs. Peut-il aller chercher ses insectes ? Lorsque le Pic-bois creuse un trou dans les arbres, il le fait afin d’aller chercher dans les tunnels faits par les insectes, ces insectes mêmes. Mais qu’est-ce qui arrive lorsque l’insecte attend l’oiseau frapper sur l’arbre ? Il se réfugie plus loin dans son tunnel. Si c’est le cas comment l’oiseau fait-il pour aller chercher ces insectes ? Le Pic-bois possède une langue qui est parfois plus longue que sont corps, qui lui permet d’aller chercher les
 
 

insectes qui s’enfuient dans le tunnel. Si l’évolution est véridique cet oiseau serait mort de faim et de fatigue en tentant de chercher ces insectes, car sa langue n’a pas encore évolué et les insectes ne cessent de fuir plus loin dans leurs tunnels.
 

Et si l’oiseau est en stage d’évolution, où sert-il cette langue encombrante ?
 

Il ne peut pas la laisser pendre, car cela serait suicidaire.

 

Le Maître Créateur a réglé ce petit problème en lui donnant une caractéristique particulière. La langue du Pic-bois s’enroule autour du crâne à l’intérieur pour terminer son trajet à la narine droite. Ceci empêche le Pic-bois de laisser pendre sa langue ou encore de s’étouffer en tentant de la garder dans son bec.
 

Ceci n'est que quelques caractéristiques du Pic-bois que les autres oiseaux n’ont pas. Nous pourrions en dire encore plus; par exemple la forme de ses pattes, de sa queue, de ses paupières, le filtres sur ses narines etc...
 

Si Dieu a donné tant d’importance pour la survie de cet oiseau, pensez-vous pour un instant que Dieu ne vous donnera pas encore plus d’importance. La lutte pour la survie et la cruauté qui nous entourent est le fruit du péché et de la rébellion de l’homme, pas d’un processus révolutionnaire.
 

Un jour Dieu va créer un ciel nouveau et une terre nouvelle.
 

Je vis ensuite un ciel nouveau et une terre nouvelle; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. Apocalypse 21:1
 

Et seulement ceux qui auront été sauvés pourront y prendre part.
 

Et les nations qui auront été sauvées, marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront leur gloire et leur honneur. Apocalypse 21:24
 

Si vous n’acceptez pas le Seigneur Jésus-Christ comme votre Sauveur et Seigneur vous ne pourrez avoir part aux nouveaux cieux et à la nouvelle terre, car votre condition vous en empêche.
 

Car il n'y a point de distinction, puisque tous ont péché, et sont privés de la gloire de Dieu. Romains 3:23
 

C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort; de même la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché. Romains 5:12
 

Mais ce sont vos iniquités qui ont fait la séparation entre vous et votre Dieu, et ce sont vos péchés qui lui font cacher sa face, pour ne plus vous entendre. Esaïe 59:2
 

Pouvons-nous avoir accès au ciel nouveau et à la nouvelle terre, par nous-mêmes ? C’est-à-dire par notre mérite? Ou devons-nous travailler pour y avoir droit ? Ou devons-nous le gagner, le payer ?
 

Nous ne pouvons pas ! Mais Dieu le peut.
 

Dieu lui-même est venu sur cette terre:
 

Et, de l'aveu de tous, le mystère de piété est grand: Dieu a été manifesté en chair, justifié par l'Esprit, vu des anges, prêché parmi les Gentils, cru dans le monde, et élevé dans la gloire. 1 Timothée 3:16
 

Pour racheter ce qui était perdu :
 

Car le Fils de l'homme est venu pour sauver ce qui était perdu. Matthieu 18:11
 

En mourant sur la croix, Il versa son propre sang, payant ainsi la dette de nos péchés :
 

En qui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés. Colossiens 1:14
 

Et quiconque croira à l'œuvre salvatrice du Seigneur Jésus-Christ ne périra point, mais aura la vie éternelle:
 

Car Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Jean 3:16
 

En regardant notre condition première nous devons reconnaître que nous somme pécheur et perdu. Nous devons tous nous repentir.
 

Repentez-vous donc et vous convertissez, afin que vos péchés soient effacés. Actes 3:19
 

Seulement la grâce du Seigneur Jésus-Christ peut nous sauver et rien d’autre peut améliorer notre condition.
 

Et il n'y a de salut en aucun autre; car sous le ciel il n'y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés. Actes 4:12
 

Car vous êtes sauvés par la grâce, par le moyen de la foi; et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu; Ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. Éphésiens 2:8-9
 

Renoncer à votre vie et vivez pour le Seigneur Jésus-Christ et vos récompenses dans les cieux seront grandes.
 

Sachant que vous recevrez du Seigneur la récompense de l'héritage, car vous servez Christ le Seigneur. Colossiens 3:24
 

Le Seigneur Jésus-Christ vous appelle.

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe; si quelqu'un entend ma voix et m'ouvre la porte, j'entrerai chez lui, et je souperai avec lui, et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et suis assis avec mon Père sur son trône. Apocalypse 3:20-21
 

En vérité, en vérité je vous le dis: Celui qui croit en moi a la vie éternelle. Jean 6:47
 

Claude Lamontagne