ROGER NICOLE dans Evangelical Dictionary of Theology sur les femmes:

 
P.1177 L'attitude juive envers les femmes

En dehors du canon il apparaît que l'attitude juive envers les femmes était sévèrement
discriminatoire. Par exemple, les rabbis étaient encouragés à ne pas enseigner les femmes ni
même à leur parler. Ecclésiastique 42:13-14 résume cette attitude: Ne t'assieds pas au milieu des
femmes, car des vêtements sort la teigne et de la femme la malice de la femme. Un homme
méchant vaut mieux qu'une femme bienfaisante et une femme couvre d'opprobre et de honte. On
peut trouver dans Ecclésiastique des passages qui mettent les femmes plus en valeur, mais ce
verset peut servir d'exemple de paroles qui circulent parfois parmi les Juifs.

Jésus et les femmes

La place accordée aux femmes va bien au-delà de ce qui était ordinaire dans la vie juive. Ceci est
manifeste pendant les 3 années de ministère publique de notre Seigneur. Il était disponible à
parler aux femmes: Jn.4 en conversation avec la samaritaine, à enseigner les femmes: Lu.10:38-42
dans son ministère envers Marthe et Marie dans leur maison, Lu.8:2-3 à les admettre parmi ses
disciples en dépit des objections et des suspicions que cela pouvait entraîner.

Dans ses enseignements notre Seigneur a représenté les femmes de plusieurs manières. Elles sont
les figures centrales de quelques paraboles: celle du levain Mt.13:33, la veuve importune Lu.18:1-
5, les dix vierges Mt.25:1-13, la drachme perdue, Lu.15:8-10. Il pointe la place des femmes dans
les descriptions des temps de la fin Mt.24:19,41. Il observe la signification de l'aumône de la
veuve, Lu.21:1-4.

Christ a manifesté une compassion spéciale envers les femmes en détresse. Son ministère de
guérison s'est étendu aux femmes aussi bien qu'aux hommes. Dans Lu.13:10-17 il était prêt à
affronter la colère des leaders Juifs en refusant d'attendre un jour de plus pour guérir une femme
qui était handicapée depuis 18 ans. Il l'a appelée une fille d'Abraham. De même, il a manifesté une
grâce spéciale à la femme qui a touché son vêtement, risquant par ce fait de le rendre impur
cérémoniellement. Mt.9:20-22. De plus notre Seigneur avait des paroles de louanges concernant
sa foi. Il a répondu à la demande de la mère païenne qui désirait désespérément la guérison de sa
fille, Mt.15:21-28. Il a ressuscité la fille de Jaïrus, Mt.9:18-26, et deux autres résurrections sont
rapportées en faveur de femmes affligées, la veuve de Naïn, Lu.7:11-17 et Marthe et Marie,
Jn.11. De plus Jésus a montré de la compassion envers des femmes de réputation douteuse que
les autres auraient évitées, Lu.7:36-50, et la femme adultère Jn.8:1-11.

Jésus a sauvegardé les droits de la femme d'une manière remarquable dans ses instructions sur
le mariage et le divorce, Mt.5:27-32, 19:3-9.

Après la résurrection notre Seigneur est apparu aux femmes et a fait d'elles les porteuses de la
bonne nouvelle même aux apôtres, Mt.28:8-10, cp. Jn.20:14-16.

Il est vrai que notre Seigneur a désigné seulement des mâles pour ses apôtres, mais cela ne
représente pas nécessairement une discrimination, puisque le ministère des apôtres avaient besoin
d'être promptement accepté et dans ce but l'attitude de certains à qui cela s'adressait devait être
considérée. Jésus a employé largement le langage du Père dans ses enseignements, mais ceci
n'implique pas un mépris de la maternité. Dans sa totalité l'attitude de notre Seigneur était
révolutionnaire même si le point principal de son ministère n'apparaît pas avoir précipité une
révolution dans ce domaine. Les femmes qui aspirent à une plus grande réalisation personnelle
dans leur humanité et ceux qui sympathisent avec elles dans ce vif désir peuvent difficilement
trouver un meilleur allié que Jésus.

Les femmes dans l'Église primitive

P.1178 Cet élargissement apporté par l'attitude de Jésus se reflète à plusieurs niveaux dans
l'église primitive. Marie la mère de Jésus est nommée parmi ceux qui adoraient dans la chambre
haute, Ac.1:14. Le baptême - le signe et le sceau de l'alliance de grâce - est maintenant administré
aux femmes aussi bien qu'aux hommes, Ac.8:12, 16:15. Les femmes peuvent accomplir le
ministère de prophétie, Ac.2:18, 21:9, 1Co.11:5. Les veuves qui enduraient une vie misérable 
dans la société étaient maintenant reconnues dans l'église, presqu'au point d'avoir un ministère
particulier, 1Ti.5:3-16. L'apôtre Paul était entouré de femmes coouvrières. Dans Ro.16 il
apparaît que 10 des 29 personnes mentionnées sont des femmes. Il y a un certain débat à savoir
si Junia, Ro.16:7 devrait être rendu par Junias. Cette compréhension particulière est venue très
tard, ver la fin du 13ème siècle et semble être un effort désespéré d'éviter à dire qu'une femme
était parmi les apôtres. Junia était un nom très commun; Junias ne semble pas avoir aucun
précédent établi. La manière que Paul caractérise les femmes qu'il énumère ici est aussi
intéressante, car un nombre d'entre elles sont présentées dans les mêmes termes que ses
collaborateurs mâles - Timothée, Apollos, Epaphras, Tite. Le verbe "travailler très fort" 16:6, 12
est employé par rapport au service du ministère. Phoebe est appelée diaconesse et quelqu'un qui
préside. Priscille est associée avec son mari Aquilas ici aussi bien que dans le livre des Actes,
Ac.18:18-19, 26. Toute cette approche atteint son point culminant dans la grande déclaration de
Paul qu'en Christ il n'y a plus ni homme ni femme, Ga.3:28. Dans 1Pi.2, les chrétiens de deux
sexes sont représentées comme des pierres vivantes édifiées pour former une maison spirituelle
pour être un saint sacerdoce et dans l'Apocalypse les chrétiens en général sont représentés
comme étant "un royaume et des prêtres, Ap.1:6, 5:10. Par conséquent, en respect avec notre
position en Christ, le Nouveau Testament efface toute distinction de rang entre mâle et femelle.

Passages qui articulent une distinction

A la lumière de ces pratiques et de ces textes spécifiques, nous devons considérer d'autres
passages apparaissant enjoindre certaines distinctions.

1Co.11:3-16 La nécessité pour la femme d'avoir un accoutrement décent et l'importance de
retenir un sentiment de soumission relié à sa position dans le foyer est souligné ici. A nouveau
nous notons une emphase spéciale de Paul afin de balancer ses affirmations, 11:11-12 de peur
que les droits de la femme soient diminués par ce qu'il vient de dire auparavant. Il est aussi digne
de mention que ce passage souligne que les femmes peuvent prier et prophétiser en public,
11:5,13.

1Co.14:33-36 Ce passage a été souvent compris comme une interdiction à la femme de parler
dans les rencontres publiques de l'église. Cette compréhension serait en contradiction directe
avec 11:5,13. Pris d'une manière stricte cela empêcherait aussi la femme de participant dans les
chants de l'assemblée. Ceci demande donc une autre interprétation. On pourrait comprendre que
Paul défend une forme de babillage et de questionnement dérangeants qui interfère avec l'attitude
d'adoration dans l'église. Les questions sont réservées pour le foyer, pas durant le service. La
raison que les femmes sont mentionnées ici plutôt que les hommes peut être dû au fait que les
femmes corinthiennes étaient surtout les éléments perturbateurs. Évidemment l'injonction
s'appliquerait autant aux mâles qu'aux femelles pour qu'une atmosphère d'adoration soit
maintenue.

Ep.5:22-33 Ce passage a été considéré souvent comme dégradant pour les femmes parce que
l'apôtre enjoint la soumission des femmes à leur mari. Cependant, c'est précédé par une
commandement de soumission générale, 5:21. Ce qui s'applique aux femmes est seulement un
cas particulier d'un principe de base. Le contexte est le foyer et n'a aucune implication sur les
rôles dans la société, dans l'église ou dans les autres relations qui n'affectent pas le foyer. Il y a
une connexion évidente avec les deux autres types de relations considérées par Paul: les enfants
et leurs parents, les esclaves et leurs maîtres. La soumission enjoint à la maison dans ces
relations n'a manifestement pas de portée significative pour les postes dans l'église et la société.
Ce n'est pas une violation de l'ordre de Dieu quand un fils a un rang plus élevé dans l'armée que
son père, ou une place plus haute dans la corporation, ou un office pastoral dans l'église où ses
parents sont membres. De même, la soumission requise des épouses dans Ep.5 ne peut être
interprétée pour inclure quoique ce soit en dehors du maine du foyer. A l'intérieur du foyer
quand des circonstances ordinaires prévalent Dieu a donné aux maris une responsabilité spéciale
de leadership. Il l'a placé dans le siège du conducteur. P.1179 Ceci n'exclut en aucune manière
l'exercice de leadership par la femme dans la société et dans l'église. En comparant le rôle et
l'amour des maris à ceux de Christ, ce passage place une bien plus grande demande sur les maris
que sur les femmes. Exemple, ce n'est pas difficile de s'imaginer des circonstances où une
femme pourrait dire: "J'ai obéi à l'injonction d'Ep.5, j'ai démontré de la soumission hors de tout
doute." Peu d'hommes, sinon aucun, sont en position de dire: "J'ai parfaitement obéi à ce
commandement. J'ai aimé ma femme comme Christ a aimé son église." En fait, la nature même
de l'amour de Christ est manifestée en ce qu'il s'est donné lui-même, Jn.15:13, 1Jn.3:16 et qu'il a
pris la forme d'un serviteur, Ph.2:7, Jn.13:1-20. L'amour du mari n'est pas celui qui se révèle en
dominant sur sa femme, mais celui plutôt qui est prêt à être un subalterne. Ceci devrait rendre la
tâche de soumission de la part des femmes bien plus facile à supporter.

Ce passage élève le mariage à des hauteurs sans précédent, car il compare l'union entre l'homme
et la femme à l'union entre Jésus-Christ et son église, il n'y a pas de comparaison plus noble qui
pourrait bien être représentée, puisqu'ici le but et le point culminant du plan rédempteur est en
vue.

1Pi.3:1-7 Ce passage est écrit beaucoup dans le même esprit que Ep.5. Il enjoint la soumission
des épouses, mais il ennoblit leur fonction au foyer, et fait l'éloge hautement non de la beauté
physique, possédée par seulement une minorité de femmes, mais la beauté spirituelle que toute
femme chrétienne peut exhiber en vertu de l'oeuvre de la grâce de Dieu dans son coeur. Comme
les hommes peuvent se réjouir d'être des fils d'Abraham, les femmes peuvent trouver un
réconfort elles-même en étant des filles de Sarah et ils sont décrits tous deux comme héritiers de
gracieux don de la vie.

1Ti.2:9-15 Ce passage est généralement reconnu comme étant celui qui constitue la restriction la
plus claire sur l'activité de la femme. Le contexte favorise une interprétation des directions
données à la vie d'église, quoique la mention de porter des enfants puisse aussi suggérer que cela
se réfère à la vie au foyer et dans la société. Certainement les instructions concernant
l'accoutrement de la femme ont une pertinence dépassant le cadre de l'église.

Ici l'apôtre enjoint une tranquillité et une pleine soumission et défend l'enseignement et
l'usurpation d'autorité. La tranquillité désirée n'est pas décrite, mais une explication simple du
terme peut être le silence. 

Certains ont suggéré que le passage n'a pas été écrit par Paul mais représente un durcissement
qui s'est produit après la mort de l'apôtre (Swidler). Cette explication est inacceptable pour ceux
qui tiennent fermement à la canonicité de Timothée avec son assertion de Paul comme auteur.
Certains ont passé la hardiesse à dire que l'auteur de ce passage, Paul ou un autre, était tout
simplement dans l'erreur sur ce point (Jewett); mais ceci est évidemment en conflit avec la
doctrine de l'inerrance des Écritures et son caractère normatif. D'autres encore ont pensé que le
passage ne représente pas un mandat permanent mais parle d'une situation culturelle à Éphèse,
reliant cela peut-être au genre de désordres apportés par quelques femmes mentionnées dans
2Ti.3:6-7 (Howe). La grande difficulté avec cette position repose sur le fait que Paul construit
son argument d'après l'ordre de la création et (comme nous le percevons) sur l'ordre de la chute.
Il semble que le raisonnement de Paul va comme suit: Eve a été créée en second et elle a tombé
en premier; par conséquent, les femmes sont sous une certaine restriction. Si c'est la bonne
manière de comprendre le passage, une question se pose: Qu'est-ce que Paul (et le Saint-Esprit à
travers Paul;) défend?

Peut-être une manière de répondre à cette question pourrait être de reconnaître certains domaines
où cette prohibition ne peut s'appliquer:

1) Paul ne peut défendre aux femmes d'enseigner leurs enfants puisque ceci est demandé dans
Pr.1:8, 6:20, 31:26 et implicite dans De.6:7. Ceci serait aussi en conflit avec la louange donnée à
Lois et Eunice, 2Ti.1:5, qui ont guidé Timothée vers la foi.

2) Il apparaît aussi que Paul ne se réfère pas ici à la profession d'enseignant comme telle,
puisque probablement la majorité des enseignants étaient des femmes et ont souvent été bénies
dans cette fonction. Aux temps de Paul assez souvent les enseignants étaient des esclaves, alors
l'acte d'enseigner n'impliquait pas prendre une autorité indue.

3) Il est difficile de penser que Paul défendrait l'enseignement religieux par les femmes dans des
situations comme l'école du dimanche. Dieu s'est plu à bénir immensément ce ministère, ce qui
aurait été difficilement le cas s'il l'avait expressément défendu. La suggestion que les adultes
mâles ne devraient pas faire partie des élèves de l'école du dimanche pourrait être considérée,
mais cela ne ressort pas clairement du contexte.

4) Une remarque similaire pourrait être faite en rapport des enseignements religieux faits par les
femmes sur le champ missionnaire, car ici encore la bénédiction de Dieu est évidente hors de
tout doute.

Si ces considérations sont jugées valables, il reste à situer précisément ce que Paul défend, et si
aucun résultat assuré ne peut être atteint sur ce sujet, il sera important de ne pas restreindre le
ministère des femmes que Dieu a clairement béni sur le base d'un passage que nous ne
comprenons tout simplement pas trop bien. C'est certainement un manque de sagesse de "douter
dans le noir quand quelqu'un a vu la lumière". P.1180 Ceci devrait être particulièrement souligné
ici parce qu'il y a plusieurs problèmes qui demeurent dans l'interprétation de ce contexte. Il n'est
pas clair, par exemple, pourquoi seulement les hommes sont enjoints à prier 2:8, alors que cette
activité devrait assurément être ouverte aux femmes au foyer et dans l'église, 1Co.11:5. Il n'est
pas clair pourquoi Paul se sert du fait que Eve ait été séduite alors que Adam ne l'ait pas été pour
justifier une restriction sur les femmes. La personne qui pèche avec les yeux ouverts apparaîtrait
encore moins fiable que celle qui succombe à la séduction. Pour cette raison nous pourrions
interpréter le passage comme se référant à l'ordre de la chute plutôt qu'à un type particulier de
défaillance dans la chute, mais cela n'est pas absolument évident. De plus, le verset 15 a un
changement étrange dans le nombre du verbe. Le premier verbe "elle sera sauvée" s'accorde
avec l'affirmation précédente "la femme ... fut séduite". Mais ensuite on retrouve la présence un
peu inexplicable d'un verbe au pluriel. Sous aucune condition pouvons-nous assumer que Paul
parle ici du salut par l'enfantement au lie du salut par la foi, mais ce qu'il veut dire précisément est
difficile à affirmer avec assurance. Puisqu'il traite des premiers chapitres de la Genèse, il apparaît
plausible que sa référence à l'enfantement pointe au protévangile et à l'entrée de notre Seigneur
dans l'humanité par une femme, la Vierge Marie. Si cette perception est juste, Paul compléterait
alors la discussion en rappelant la dignité des femmes et leur rôle dans l'économie salvatrice de
la grâce qui contrebalancerait une restriction auparavant imposée.

Mais qu'elle est cette restriction? L'auteur présent est incapable de faire une affirmation ici. Une
hypothèse d'une certaine autorité démesurée dans l'enseignement semble être en vue, mais il n'est
pas clair dans quelles circonstances ceci s'est actuellement produit. Quand nous lisons dans
2Ti.3:16-17 que "Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour l'enseignement, la réprimande, la
correction et la formation dans la justice" on pourrait nous attendre après ces descriptions du
ministère que Paul emploierait un terme pour "l'homme de Dieu" qui soulignerait la masculinité,
mais, en fait, le langage qu'il utilise est celui de l'humanité générique et s'applique aussi bien aux
femmes qu'aux hommes. On peut difficilement oublier ceci en essayant de comprendre le sens
de 1Ti.2:9-15.

Conclusion

En tenant compte de tout ce qui a été écrit plus haut, il est clair que les Écritures procurent aux
femmes une place d'une dignité et signification inhabituelle. La Parole de Dieu ne méprise jamais
les activités dans lesquelles les femmes sont premièrement engagées, en tant qu'épouse,
bâtisseuse de foyer, mère, éducatrice des enfants. S'engager dans ces activités notables selon les
Écritures n'est pas choisir une option de second ordre, manifestement inférieur à la poursuite
d'une carrière indépendante. À cet égard quelques emphases de certaines formes de féminisme
moderniste ont bien nui à beaucoup de femmes en manquant de reconnaître la valeur et la dignité
de leurs tâches. Il n'y a aucune raison de considérer les femmes comme étant inférieures, comme
c'est trop souvent le cas dans la culture humaine.

Créée à l'image de Dieu pour être l'aide de l'homme, " pas faite à partir de sa tête pour le
dominer, ni de ses pieds pour être écrasée par lui, mais de sous son bras pour être protégée et
prêt de son coeur pour être aimée" (Matthew Henry), la femme a une place et une destinée
glorieuse dans le plan de Dieu.

Quoiqu'incluse dans la ruine de la chute, elle est l'objet de la compassion et de la grâce de Dieu.
C'est par une femme, la Vierge Marie, que le Seigneur Jésus-Christ a fait son entrée dans notre
race. Les femmes sont parmi les premières à répondre à son ministère et les premières à
témoigner de sa résurrection. Les femmes, en plus grand nombre que les hommes, ont répondu
à l'invitation de l'évangile et au mandat de la grande commission. Dans l'Apocalypse, le livre qui
conclut et est le point culminant des Écritures, l'église en tant que corps de tout le peuple racheté
de Dieu est représenté par une femme, l'épouse de Christ.

- Roger Nicole, traduit de l'anglais par Yvan Rheault
 
 

 

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