Les prêtres dans la tribu de Juda?

Il y a un passage qui m'a intrigué dans ma lecture, je vous en fais part, si vous avez des opinions à ce sujet, vous êtes le bienvenu d'en parler;

Dans 2S.8:18 on lit dans la version Segond : les fils de David étaient des ministres d'état.

Jusque là, c'est plutôt banal pour nous mais voilà que je l'ai lu hier dans la version Colombe où il est écrit : les fils de David étaient des prêtres.

Là je vous avoue que j'ai été surpris, pourtant c'est bien ce qu'on lit dans le texte hébreu. Les fils de David étaient des cohanim comme les fils de Tsadok, voici les différentes opinions que j'ai recueillies dans des commentaires, peut-être en aurez-vous d'autres à suggérer:

1. L'érudit Keil pense que c'était selon l'ordre de Melchisedek qu'ils étaient prêtres, cf. Ps.110, se disant que David aurait pu déléguer à ses fils certains fonctions sacerdotales. 

2. D'autres traduisent le terme cohen employé ici au pluriel par "confident" ou encore ministres d'état leur enlevant tout sens sacerdotal relié au culte, exclusivité de la tribu de Lévi alors qu'il est notoire que David descend de la tribu de Juda tout comme Jésus. 

3. Ewald a avancé que ces prêtres étaient ici des prêtres domestiques reliés particulièrement au roi. En Égypte on rapportait que les conseillers personnels du roi étaient choisi parmi les prêtres et c'est ainsi qu'on perçoit la fonction des ces hommes mentionnés ici. 

4. Selon les notes de la Bible de Jérusalem, c'est une indication étrange, sans doute des assistants ou substituts de leur père dans les fonctions sacerdotales qui étaient légitimement exercées par le roi, cf. 2S.6:13-20. On y lit que David a offert des holocaustes et des sacrifices de communion.

Le texte de 2S.8:18 ne donne pas de détails explicatifs ce qui semble faire penser que cela ne posait pas un problème pour les auditeurs de l'époque que des descendants de Juda portent le titre de cohen que je pensais être strictement réservé à la tribu de Lévi, exception de Melchisédek dont je n'avais pas lu ni pensé que d'autres que Jésus avait été ordonné selon cet ordre, cf. Hé.6:20 et la suite.

Voilà où j'en suis dans cette réflexion un peu trop technique mais dont je vois une certaine application pour nous puisque Jésus a fait de nous des prêtres, cf. 1Pi.2:9 et Ap.1:5.

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J'ai l'habitude de lire la Torah dans la version Segond qui traduit par
"ministres d'état" ce qui fait que je n'avais jamais accroché sur ce passage
avant que je vous propose cette question. En lisant la version Colombe j'y
ai lu le terme "prêtres" et j'ai été voir dans l'hébreu pour constater que
c'était bien le mot cohanim qui s'y trouvait.

Ceci a remis tout en question ma compréhension de la prêtrise lévitique et
je me suis dit qu'il serait précieux d'avoir l'avis de juifs concernant
cette question, même si c'est difficile de savoir le sens intenté par
l'auteur 3000 ans plus tard.

A propos, y a-t-il dans la Torah d'autres exemples de l'emploi de cohen pour
désigner des juifs qui ne sont pas de la tribu de Lévi?

Je vois aussi un parallèle pour les disciples du juif Yeshoua; on lit dans
le Nouveau Testament que Yeshoua "a fait de nous un royaume, des prêtres
pour Dieu son Père" Ap.1:6 (parole rapportée par le juif Yochanan Ben
Zebedee) et que grâce à lui nous sommes "une race élue, un sacerdoce royal,
une nation sainte et un peuple acquis" 1Pi.2:9 (parole rapportée par le juif
Shimon)

Suite à Yeshoua, à la fois le souverain prêtre et l'agneau pascal de Dieu
qui s'offre lui-même pour ôter le péché du monde (Jn.1:29) ses disciples
sont appelés à être aussi prêtres et holocaustes, en offrant eux-mêmes leurs
corps comme un sacrifice vivant, agréable à Dieu, cf. Ro.12:1 (parole
rapportée par le juif Saul de Tarse).

  Yvan Rheault
 

 

Shalom Yvan

 

Ta question est merveilleuse et nous apportera sûrement de belles méditations, j'y ai pensé pendant  presque  tout le Seder, oups! :))

Effectivement, il y a plusieurs points dont il faut tenir compte, cette question me touche personnellement car en découvrant le pourquoi une personne n'est pas prêtre, cela va encore mieux nous éclairer sur les nombreuses fonctions cohanim et sur tout le Judaïsme tel quel il est  vu et vécu aujourd'hui par rapport à cette continuité de l'Alliance entre D-ieu et le monde entier en passant par les révélations données au peuple juif.

Premièrement, je vais soumettre cette question au grand rabbinat pour avoir une interprétation, ce sera toujours un commencement de réponse, une des choses merveilleuses du Judaïsme est justement que devant une question, nous ayons un grand nombre de réponses toutes vrais, et c'est toujours selon le cœur de chacun d'identifiée celle qui est la plus compréhensible selon son cheminement personnel, pour moi, c'est cela la Vérité, lorsque Y'shoua nous dit : " Je suis la Vérité " il nous confirme qu'il est venu pour tous, apportant à chacun des lumières, malheureusement, nous avons tendance à croire que la vérité est une seule chose bien déterminé et que si quelqu'un ne voit pas comme nous, il est automatiquement dans le mensonge, pour moi cette vision est le mensonge. Un esprit étroit et sectaire ne peut pas être dans la vérité.

Un ex : " D-ieu est UN et indivisible" " Il y a trois personnes en D-ieu" voici deux vérités,  qui pourtant se contredise et dont la compréhension dépende du cheminement de chacun. Cela fait peur de voir un sens aussi large à la vérité, certain dirons, mais il doit bien y avoir une seule et unique vérité, qu'est ce qui peut nous garantir qu'une vérité est bien réelle ? Je dirais en premier, c'est son espace temps, il  sera toujours vrai, il ne sera jamais passer date. La vérité ne peut pas être fausse un jour. Ceci c'est énervant, cela fait peur, si on pense par exemple aux choses autour de nous et que l'on fait le point sur ces choses.

Un exemple:  la femme qui demeure avec moi est-elle ma bacherté ( mon âme sœur) ? Bien des personnes jugent autrui en le désignant du doigt en disant " Celui-ci est un divorcé, il ne demeure plus avec sa première femme"  Pour répondre à une telle question, il faut déterminer c'est quoi le mariage légal devant D-ieu, un exemple : Je suis  protestant donc je ne peux pas reconnaître le mariage catholique, c'est impossible sinon je dois reconnaître que l'église est vraie, et si je suis juif orthodoxe je ne peux pas reconnaître le mariage devant Y'shoua. Donc conclusion tous nous sommes accotés ou mariés, si je me base sur la loi juive, combien de couple sur cette liste est réellement marié ????

C'est la meme chose concernant le prêtre, la loi de l'Éternel identifie pleinement le prêtre selon la descendance d'Aaron, mais aujourd'hui ce 23 avril 2000 pour vous et ce 18 nissan  5760 pour d'autres, ce n'est pas aussi facile à déterminer, et puisqu'on y est, qui est juif ??? Comment déterminer qui est juif, ma question ne s'applique pas aux règles rabbiniques présentes à savoir que .... je demande à savoir ou sont passé les 10 tribus manquantes, y aurait-il des co-listiers juifs qui ne savent pas qu'ils sont descendants de l'une ou l'autre des 10 tribus perdues d'Israël ????

Pour en revenir au prêtre d'aujourd'hui, il ne suffit pas de s'appeler Cohen, Cohn, Cowan, Cowen pour être reconnu prêtre.....

Le conseil rabbinique demande de prouver nos descendances en nommant au moins 25 générations ce qui veut dire que je dois savoir qui était mon ancêtre aux 14 ieme siècles et le lieu de sa résidence et son travail... Voila une chose vrai, s'il y a doute, c'est faux... Pourquoi autant de précisions, en premier, c'est à cause du respect meme de la vie... Si un soi disant prêtre devenait grand-prêtre et que le Temple soit reconstruit, il aurait à pénétrer derrière le voile dans le Saint des Saints et puisqu'il serait un  imposteur, il mourrait... Remarquez que cela pourrait être le meilleur moyen de déterminer qui est prêtre, en file indienne un à un passant devant l'Arche. Personnellement je connais certain cohanim qui n'oserais pas défiler. :)  Et la je me pose la question est-ce que moi, j'oserais défiler ? Sachant que si je ne suis pas un vrai prêtre, je mourrais sur le coup...  Ma réponse est oui, j'oserais, pas à cause que je connais toute ma lignée, pas à cause que je m'appelle cohen, mais à cause d'une certitude intérieure, d'une confiance aveugle en quelque chose ou quelqu'un qui est la vie, et ne peut représenter la mort, je dirais à cause d'une explication nouvelle de l'Alliance entre moi et l'Éternel. Un autre exemple : un cohen adopte un enfant et lui donne son nom, est-ce possible en premier qu'un cohen ne puisse pas adopter d'enfant à cause de son sacerdoce, je crois que dépendamment des raisons tout homme peut avoir à adopter un jour un enfant, la question est maintenant de savoir si cet enfant est vraiment comme son père adoptif,  Cohen devant l'Éternel. Personnellement je dirais oui, puisque rien n'arrive sans la volonté d'HaChem. On pourrait supposer que cette âme devait être cohen meme si elle est née dans la tribu de Judah. Je suis certain que sur cette condition nous pourrions légiférer assez longtemps. 

Mais ici la question d'Yvan nous démontre une autre forme de prêtrise, la royauté, l'onction d'huile royale et sacerdotale qui définie le roi d'Israël. La loi dit " Celui qui se choisit un esclave se donne un maître" et celui qui est appelé roi doit etre le serviteur de tout son peuple. Le roi David qu'il soit béni à jamais est serviteur de tout Israël, cette forme de prêtrise est d'être au service du peuple par un roi représentant d' HaChem, tandis que le cohen servant HaChem étant représentant de tout le peuple. On peut voir ici peut-être une raison de l'absence du Temple comme de la royauté d'Israël en nos jours. L'Israël d'aujourd'hui n'étant plus sujet à une royauté comme au temps de David ou de Y'shoua. Et Israël aujourd'hui attend Son Messie, voila le rôle attribué au représentant de la lignée de David, Serviteur des serviteurs, qui se définie par : Prêtre des prêtres, Prophète des prophètes, Roi des rois, nul doute que ce sacerdoce avais de quoi épeurer un type comme Hérode, David donnant la communion au peuple tout entier, comme l'avais fait Melchitsedek ( Messie le Juste) Roi de la Paix ( Salem ou Shalom) apportant du vin et du pain a notre père Avraham Avinou. Tel encore le rabbi de Nazareth, Y'shoua recevant l'onction royale (d'eau et non d'huile) dans le Jourdain des mains de Yo'hanan le prophète, ce nouveau roi des juifs distribuant cette communion de vin et de pain à tous ceux qui le  suive dans  ses enseignements en participant  en mémoire de lui qui a dit à l'exemple de Son père céleste "Observe et souviens-toi." 

 

La suite dans la deuxième partie. 

  
La prêtrise  (2ieme partie)

 

Malheureusement aucun a suivit ce Roi, et quand je dis aucun, je ne peux plus dire personne, mais je suis sure du aucun en ce qui concerne les chrétiens, car je suis désormais de plus en plus convaincu qu'ils sont descendants de Paul et non de Y'shoua. Et pour ceux qui n'ont pas peur de la vérité,  je peux leur soumettre quelques études sur ce sujet. 

Voici le schéma que l'on devrait connaître dans la composition des évangiles: Hors de tout doute selon moi Mathieu hébreu est l'ancêtre et à donner lieu à Evangile pétrinien d'Antioche, Évangile de Césarée( Source Q ) et Evangile paulinien d’Éphèse.

Évangile pétrinien d'Antioche et l'Évangile de Césarée ayant donné lieu à Mathieu grec.

Évangile pétrinien d'Antioche  et l'Évangile paulinien d'Éphèse donnant lieu à Marc( 66)

Évangile de Césarée et l'Évangile paulinien d'Éphèse donnant lieu à Luc ( 64)

 

La datation des Évangiles.

 

 

L ‘école hégélienne de Straub ( Tübingen) aboutit vers 1850 à des résultats extravagants : l’Évangile de Mathieu (Thèse) daterait de l’an 130 et serait la déformation tendancieuse de l’Évangile araméen des Hébreux, écrit émanant de Pierre c’est à dire d’un milieu judéo-chrétien.

Luc ( Antithèse), de tendance opposée à Pierre, serait le remaniement de l’Évangile paulinien de Marcion vers 140-150. Et enfin Marc ( Synthèse) voudrait neutraliser les deux tendances, donc serait encore plus tardif…

Si je relate cela c’est que presque tout le monde chrétien a ceci comme base.

D’autres se sont efforcés de montrer que la rédaction a eu lieu avant : ainsi en 1976 J.A.T Robinson in Redating the New Testament démontre que les Évangiles ont été écrits environ entre 40 et 60 : il place tous les écrits néo-testamentaires avant 70.

Je viens de finir le livre «  Qui a écrit les manuscrits de la mer morte » de Norman Golb. ISBN 2-259-18388-3

Et nous nous rendons compte de plus en plus de l’impact et le rôle qu’a tenu la secte Essénienne sur le monde. Lire les écrits de Qumran c’est reconnaître les prédications extraordinaires de Y’shoua Ben David, c’est tout à fait dans la meme lignée et du meme esprit.

En 1994 le Pr.Carsten Peter Thiede a découvert sur le manuscrit 7Q5 de Qumran un fragment de l’Évangile de Marc 6,52-53 daté de l’an 50

Ce qui est étrange puisque sur les rouleaux la disposition des versets étaient conjoints et dans nos bibles ils sont la fin et le début d’un paragraphe. De meme il a daté les manuscrits d’Oxford contenant des fragments de Mathieu en l’an 50 également. A mon avis cela ne prime pas autant que la découverte d’une première forme de récit évangélique. Me referant  par exemple à Mathieu hébreu qui daterait de 50 serait tout à fait plausible et d’autant plus que le texte se retrouve en parties dans les écrits de Qumran. Pour moi il ne fait aucun doute que Y’shoua est passé quelques années avec les Esséniens ( peut-être meme avait-il choisit cette voie dès son Bar-Mitsvah) Il devenait derechef presqu’un ennemi  autant avec les sadducéens, mais surtout et avant tout  avec les pharisiens. L’ascèse que prônait les esséniens devait sûrement mettre les pharisiens dans de fâcheuses positions. D’autant plus que les Esséniens étaient admirés du petit peuple. Voici quelques différences :

Les Esséniens avaient un mode de vie simple et rigoureuse, leurs activités essentielles était l’agriculture. On n’a qu’a penser à toutes les paraboles de Y’shoua dans ce domaine. Les Esséniens ne possédaient pas d’esclaves, considérant cette pratique comme une grande injustice. Ils respectaient le shabbat, évitaient les blasphèmes et préservaient la pureté des rites avec plus de rigueur que les autres.

A la différence les Sadducéens croyaient en la liberté totale de l’homme ou des Pharisiens qui pensaient que  seules certaines choses étaient préétablies.

Les Esséniens croyaient que la volonté de D-ieu présidait à toutes les affaires terrestres. Ils croyaient également que l’âme est immortelle et qu’ils seraient récompensés ou punis dans l’au-delà pour les actions accomplis dans ce monde.

Les explications de Josèphe divergent de celles de Philon en quelques points sur certaines pratiques du groupe. Les deux auteurs affirment que les esséniens ne se mariaient pas, Josèphe attribut cela à leur aversion pour le dévergondage des femmes, étant convaincus qu’aucune ne peut rester fidèle à un seul homme. Philon, lui, écrit qu’ils considèrent le mariage incompatible avec la vie communautaire. »Les épouses étant, par nature, des créatures égoïstes. ( SVP les femmes de la liste ne vous fâchez pas, ce n’est pas mon point de vue) Toutefois Josèphe reconnaît qu’il existait des groupes qui ne refusaient pas le mariage, mais s’unissait que pour procréer. ( Ce qui est à mon sens le plus plausible)

Selon les auteurs les Esséniens pratiquaient une forme de purification rituelle différente. Ils ne pouvaient pas accomplir leurs sacrifices avec les autres juifs. C’est la raison pour laquelle ils avaient leurs propres cérémonies où leurs prêtres officiaient. Par contre Philon affirme qu’ils n’accomplissaient pas de sacrifices, mais manifestaient leur piété en sanctifiant leur esprit.

Toutefois les deux ont une fervente admiration pour cette communauté. Qu’ils tiennent pour le parangon de l’autodiscipline et de la charité !

C’est sur ces derniers points que nous allons réfléchir. Car cela nous amene a notre sujet principal. La prêtrise était non seulement perçue comme différente,  mais les rites sacrificiels eux-mêmes l’étaient. A quoi pouvaient servir les prêtres,  sans sacrifices, quelle était la raison de leur présence dans la manifestation de leur piété dans la sanctification de leur esprit. Voilà beaucoup de questions et très peu de réponses. Pouvons-nous penser à une forme nouvelle révélée a ce groupe particulier. En ce qui me concerne si les Esséniens vivaient aujourd’hui, je serais l’un d’eux,  indiscutablement,  s’il m’acceptait bien sur…

Je pense que le messianisme vécu aujourd’hui est très proche de l’essénien, et que nous devons méditer l’évangile avec ce regard nouveau, d’un messie juif vivant une certaine réclusion jusqu'au temps voulu du Père ou il devait accomplir Sa mission. N’oublions pas que les Esséniens ont été contributaires de la Kabalah dans une très forte mesure. 

Mikhaël Élisha Cohen
Cong. Beït Shalom Méshi'hit
http://club.voila.fr/do/info/beit_shalom  Liste discussion française.
http://club.voila.fr/do/info/kra-vedaber  École Beit-Shalom On-line.
http://www.egroups.com/group/shalom  English list.
mailto:mecohen@granby.net
 

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Bonjour, 

Dans l'attente d'une réponse d'un vrai expert, j'offre quelques pistes de réflexion.
 
D'abord, il ne semble pas que les mariages entre les tribus d'Israel fussent interdits. Ainsi, il se peut qu'un membre de la tribu de Judah se marie avec un membre de la tribu de Lévis. Je ne sais pas, mais il se peut que leurs enfants pussent servir parmi les Lévites. Rappelons que Jean Baptiste est le fils d'un prêtre. Sa mère Elizabeth était parente avec Marie, la mère de Jésus. Ainsi, Jésus et Jean Baptiste, et peut-être, Jean et Jaques les apôtres, étaient des cousins. 
 
Il y a plusieurs versets où le terme cohen semble s'appliquer à un chef ou un prince ou un magistrat 2 Sam 20:26; I Rois 4:2 et 4:5 I Ch 27:5;
 
Aussi, il vaut la peine de noter que si le verset I PI 2:9 nous dit que tous les chrétiens forment un sacerdoce royal, pourquoi pas tous les les juifs? Le verset est une citation directe d'Exode 19:6, et dans ce verset, il s'adressait à tout Israel. 

Marc A. Pembroke
 
in USA (aux Etats-Unis)

1642 E. 56th St Apt 402
Chicago IL 60637
 
In Canada (au Canada)
c/o Directeur, Institut Auguste Lecerf
University of Phoenix practitioner faculty
6401, rue des Camomilles Apt 2
Charny, QC G6X3E8
Canada
(418) 832-7168
maplawqb@clic.net
http://www.clic.net/~maplawqb
 
 

 
 
 
 
 
 



 
 



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