Les collègues de Anna Quindlen, lauréate d'un prix Pulitzer, estimaient qu'elle avait toutes les chances de présider un jour aux destinées du Times de New York. 
Leur surprise a été grande quand, en sept. dernier, elle a annoncé son départ du journal. Q'uest-ce qui avait bien pu motiver ce choix?
Mère de 3 enfants, 11,9,5 ans, Anna avait fini par trouver trop lourd le tribut à payer.
«J'ai eu beaucoup de mal à prendre cette décision. S'il m'avait été donné 2 vies, j'aurais voué l'une d'elles à faire entrer le journal dans le 21e siècle. 
En réalité, je ne vois pas comment j'aurais pu consacrer assez de temps à mes enfants s'il m'avait fallu occuper un poste de direction.

- Howard Kurtz
 

J'attendais à la sortie d'un supermarché que mes amis aient terminé leurs achats, quand j'aperçus un petit garçon de quatre ans environ pleurant à chaudes larmes.
Que se passe-il? lui demandai-je. Pourquoi pleures-tu ?" 
Entre deux sanglots, il me répondit: " Mon papa s'est perdu! 
Souvent devant les situations de ce monde, 
nous avons l'impression que Dieu s'est perdu; 
C'est nous qui le sommes! Pas lui, pas du tout
 

Mon fils n'arrête pas de me poser des questions, 
et je ne sais pas toujours quoi répondre. 
"Seul Dieu connaît toutes les réponses", lui dis-je un jour.
Deux minutes plus tard, nouvelle question. "Je ne sais pas", lui dis-je. 
Il réfléchit un moment: "Et si tu demandais à Dieu?"
 
 

Une maman répondait aux questions de sa petite fille à propos de la mort de son père. "Dieu est venu le chercher , Nadine, lui expliqua -t-elle. Et un jour il viendra aussi nous chercher, toi et moi. Mais nous ne savons pas quand". 
L'enfant réfléchit: "Maman, si nous ne savons pas quand Dieu viendra nous chercher, nous ne serons peut-être pas prêtes. On devrait commencer à faire nos bagages".
Une autre petite fille, quelques jours avant de mourir à l'âge de trois ans , était allée trouver sa maman avec toutes ses poupées habillées dans les bras:" Je suis toute prête, Maman, pour aller chez le Seigneur Jésus".

- Inconnu
 

Je discutais avec ma femme Chantal et je lui disais que c'était le fun ici à Cowansville parce qu'on pouvait faire du bicycle sur le plat. (A Granby il y avait des grosses côtes dangereuses pour les enfants.) Éliane qui s'adonnait à écouter aussi la conversation, sans que je m'en aperçoive vraiment, m'a répliqué: «Ben voyons, papa! on peut pas faire du bicycle sur le plat!»
Sur le coup, je suis resté perplexe de sa réponse, puis j'ai réalisé que pour elle, le plat c'est synonyme d'une assiette! Dans sa logique à elle, elle avait raison; on ne ppeut pas faire de bicycle sur une assiette!

Application: Ça peut arriver où l'on comprend un passage d'une manière autre que celle intentée par l'auteur biblique et comme celui-là n'est plus de ce monde pour nous corriger, nous devons redoubler d'attention et de prudence.
Son raisonnement d'enfant se tenait mais il était complètement à côté, Éliane n'avait pas assez de maturité pour nuancer, elle n'était pas prête pour la nourriture solide sur le plat! 
Si Éliane avait eu 25 ans au lieu de 5 ans, il se serait probablement dit: c'est sûr que papa ne parle pas d'une assiette, je ne comprends pas mais il parle sûrement de d'autres choses. Je vais m'informer à lui pour savoir de quoi il parle.
Le chrétien mature, quand il rencontre des passages bibliques qui ne concordent pas avec sa conception des Écritures, ne s'emportera pas, mais il se mettra plutôt à réfléchir et à remettre en question sa propre conception en la comparant avec celle 

 - Yvan Rheault